1. Une autre vie commence. (10)


    Datte: 07/05/2023, Catégories: Hétéro Auteur: Faunus, Source: Xstory

    ... n’être concentrée que sur la conduite du véhicule. Il frissonna quand ses doigts touchèrent la peau. Il avait pensé entrer en contact avec le tissu de la petite culotte de sa chérie.
    
    - Hou-là ! Ma petite coquine, il m’a semblé que tu avais mis une de tes jolies culottes qui te vont si bien.
    
    - Mon petit chéri en sucre, je l’ai retirée quand je suis allé faire pipi. Je voulais essayer pour connaître les sensations sous la jupe.
    
    - Je dois dire que cette jupe est parfaite, le plissé est.. ... très accueillant.
    
    - Ha ha ha ! Oui, c’est spacieux, rien ne te gêne.
    
    - Hum ! Petit monstre, si j’ai bien compris, tu es sans culotte et sans soutien néné. La journée va être longue, j’espère que nous aurons beaucoup de travail.
    
    Tout en parlant, il lui caressait la vulve. L’arrêt du véhicule dans le parking souterrain de la banque mit fin à cet intermède. Avant de sortir du véhicule, il se pencha vers elle pour l’embrasser.
    
    - Tu es vraiment terrible, tu me rends fou.
    
    - Mon amour, je suis certaine que ton oiseau, lui aussi est en train de pleurer.
    
    L’arrêt d’un autre véhicule à côté du leur les incita à en sortir. Le petit sourire entendu de l’employé de la banque en disait long. Charles se contenta de saluer l’arrivant d’un hochement de tête. Josiane se dirigeait déjà vers l’ascenseur, il pressa le pas pour la rejoindre. Avec un peu de chance, ils ne seraient pas obligés de faire le court trajet avec l’importun. Il haussa les épaules en se disant que les bruits ...
    ... courant sur leur couple allaient être amplifiés. Il sourit cependant en la regardant marcher devant lui. La jupe ample ne laissait rien deviner et sa longueur s’arrêtant juste au-dessus des genoux la rendait vraiment sage. Charles se dit que Josiane était une vraie coquine à qui l’on donnerait le bon Dieu sans confession.
    
    Malgré une charge de travail importante, la journée s’était écoulée sans encombre. Le repas pris en commun dans le réfectoire de la banque n’avait été qu’un intermède sans intérêt. Pendant tout ce temps, Charles avait dû se contenter que de quelques échanges téléphoniques avec Josiane. Les rares moments de répit lui avaient permis d’imaginer l’absence de sous-vêtement. Chaque fois que ces pensées coquines lui venaient à l’esprit, cela lui occasionnait un large sourire et c’est en soupirant qu’il reprenait le travail. Il n’avait pas compté les jours, mais ce dont il était maintenant certain sautait aux yeux. Il était fou amoureux de sa secrétaire. Il secoua la tête en pensant que si quelqu’un entrait dans son bureau à ce moment-là, avec ce sourire il passerait pour un ahuri. La sonnerie du téléphone le sortit de sa réflexion.
    
    - Oui...
    
    Contrarié, il avait pris le combiné en main tout en regardant sa montre. La semaine se terminait, l’heure approchait et il n’avait pas envie de subir un contretemps de dernière minute. Le pupitre de son téléphone indiquait un appel extérieur direct. Cela l’agaçait, mais il prit une profonde inspiration pour pouvoir ...
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