1. Une exposition en appelle d'autres


    Datte: 04/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation rasage, nopéné, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... les bras, tu aurais vu la tête de la cousine !
    — Oui, oui, j’imagine… D’ailleurs, elle voulait vous dénoncer à ma… madame. C**, mais elle aussi semble être plus avertie qu’elle veut le paraître.
    
    J’ai l’impression que la glace est rompue pour de bon avec Déborah. Elle me parle comme à une copine et je la trouve de plus en plus sympathique. Nous continuons à faire aller et venir nos doigts l’une sur le mollet de l’autre et à nous chatouiller délicatement le buisson du bout des orteils. C’est sensuel et relaxant. J’aimerais pourtant qu’elle m’en dise un peu plus sur ses apartés avec Sandrine.
    
    — C’est toi qui l’as masturbée ?
    — Simplement encouragée, elle en avait une grosse envie ! Tu l’avais bien tripotée, non ? On est allée ensemble dans la douche. J’ai fait ma petite toilette devant elle. Après, je lui ai savonné le dos, comme par jeu. En la rinçant, mine de rien, je l’ai fait se retourner… Une ou deux succions de ses tétons, et j’ai à peine eu besoin de guider sa main vers sa petite chatte, c’était parti !
    
    Elle rit en mimant la branlette et les soupirs de la gamine. Je souris en me représentant la scène qui éveille aussi en moi d’excitants souvenirs.
    
    — Je la tenais contre moi, reprend-elle, j’ai senti qu’un seul orgasme ne suffirait pas. Elle s’était retenue, elle était encore toute tendue, la pauvrette.
    — Et donc, pour la faire repartir, tu lui as montré l’exemple, c’est ça ?
    — Oh non ! Tu me connais, j’aurais été obligée de me relaver ! Sinon, ton ...
    ... amie…
    
    Je veux bien le croire. Je suppose qu’elle aurait passé un très mauvais moment si elle était revenue la chatte odorante. N’empêche, je veux savoir comment elle a décidé Sandrine à se laisser aller une fois de plus.
    
    — Je l’ai reprise bien serrée sur moi, en lui agaçant les seins du bout des doigts et en remettant sa main sur le minou. Elle résistait un peu, alors j’ai guidé sa main pour qu’elle se frotte.
    — C’est ce que tu appelles, juste encourager ?
    — Si peu ! Sa main allait toute seule, je n’ai eu qu’à l’accompagner… Elle a joui plus fort, avec un joli petit cri. L’autre renfrognée a dû l’entendre depuis le couloir.
    
    Renfrognée, un qualificatif qui décrit assez bien Viviane. J’en complimente l’auteure quand il me revient à l’esprit la promesse que j’avais faite à Sandrine.
    
    — En tout cas, ça prouve que la petite s’est sentie en confiance avec toi. Moi, j’ai peur qu’elle m’en veuille.
    — Pourquoi ? Elle t’aime bien. C’est toi qui as réussi à lui faire nous montrer sa foune.
    — Oui, mais en lui promettant quasiment qu’elle verrait sa patronne nue. Ce n’est pas le cas. Elle va penser que je l’ai manipulée.
    — Ne t’inquiète pas, on n’est pas couchées… susurre-t-elle en clignant de l’œil.
    
    Je m’apprête à lui demander le sens de cette réponse sibylline, quand ta voix toute proche nous surprend.
    
    — Alors, les lâcheuses, on fait bande à part ? Quand vous aurez fini votre flirt, vous nous ferez l’honneur de regarder le travail de Viviane ?
    
    Le travail de la « ...
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