Une exposition en appelle d'autres
Datte: 04/05/2023,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
profélève,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
rasage,
nopéné,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... renfrognée » ? La pensée nous vient en même temps avec Déborah et nous éclatons de rire à ton grand étonnement.
— Je t’expliquerai, te dis-je. Excuse-nous, on papotait entre copines.
— Puisque tu t’entends si bien avec elle, tu seras heureuse d’apprendre que Déborah couchera avec nous cette nuit, répliques-tu.
Allons bon ! Maintenant, c’est moi qui me renfrogne. J’avais tant rêvé de cette première nuit avec toi ! J’en pleurerais presque en voyant ton sourire narquois, ta mine satisfaite dans ta tunique chiffonnée. Tu te préoccupes comme d’une guigne de ses rubans délacés qui laissent se révéler les contours de ton corps au moindre mouvement. Ton seul souci est de me faire entendre que c’est toi qui mènes le jeu de notre relation. Définitivement. Mais après tout, chaque fois que j’ai eu à subir tes contraintes ou tes humiliations, j’en ai retiré de nouveaux plaisirs. Peut-être me réserves-tu encore une surprise délicieuse et des bonheurs sexuels supérieurs à ceux que j’escomptais de notre tête-à-tête.
En attendant, regardons le résultat des efforts de Viviane puisque l’on nous y invite. C’est, comment dire, impressionnant. Dégagée de sa profusion pubienne, la motte se montre dans toute sa gloire et sa peau plus claire tranche avec le reste du corps. La nudité du mont de Vénus en est renforcée, valorisant l’ampleur déjà peu commune de la vulve. Les grandes lèvres paraissent plus grosses, le capuchon plus proéminent, les nymphes plus épaisses. Tout attire ...
... irrépressiblement les regards. Clémence se laisse contempler, sans complexe apparent.
Difficile de dire ce qui, de l’attrait d’une féminité opulente ou de l’admiration d’un travail d’artiste, provoque le ravissement non dissimulé de Marie-Blanche. Elle ne se donne même plus la peine du moindre prétexte pour justifier son intérêt pour la plastique du modèle. Fait-elle provision d’images qui agrémenteront ses nuits solitaires ? Les yeux capturés par les formes qui la charment, insensible aux allées et venues qui l’entourent, elle demeure immobile et altière dans son élégante lingerie mauve. C’est ce léger détail que tu plais maintenant à lui rappeler.
— Eh bien, chère amie, il ne reste plus que vous.
Elle ne saisit pas tout de suite le sens de ta remarque. Tu es forcée de la répéter pour qu’elle consente à sortir de son inertie rêveuse et qu’elle tourne vers toi un œil vaguement interrogatif.
— Je disais, ma chérie, qu’il n’y a plus que vous à ne pas être nue.
— Aline ! Vous n’y pensez pas !
Les ultimes barrières de sa pudeur et des notions de bienséance l’ont fait réagir. Elle rougit brusquement et regimbe en te désignant.
— Pardon, mais je ne suis pas la seule.
— Oh, s’il ne s’agit que de ça, réponds-tu du tac au tac.
Il te suffit d’un simple geste de la main pour dénouer les derniers rubans de ta tunique et te présenter face à elle dans l’égalité de notre nudité. J’aime ta pose fière, comme née de la fleur de satin rouge éclose à tes pieds, soulignée çà et là de ...