1. Une exposition en appelle d'autres


    Datte: 04/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation rasage, nopéné, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... sur les coussins. On ne sait jamais.
    
    J’ai repris par jeu la disposition que vous aviez adoptée, Marie-Blanche et toi, au début de l’examen de Sandrine. La pose est confortable, assises face à face, le dos calé contre l’accoudoir. Pour la commodité d’étendre à demi nos jambes, il nous faut accepter qu’elles se croisent, se superposent, et bien sûr s’entrouvrent. Les pieds de l’une contre le flanc de l’autre, la broussaille châtain défiant la broussaille noire, les seins et la fente de chacune offerts au regard de sa vis-à-vis, tout pousse à une amicale intimité et aux confidences.
    
    — Raconte vite ! suppliai-je en caressant ses orteils.
    — Quoi donc ? sourit-elle en me rendant la caresse sur une cheville.
    — Cachottière. Tu le sais très bien !
    
    Je rouspète pour la forme en pressant gentiment son mollet.
    
    — Dis, tu m’en veux de t’avoir torturé les seins quand tu as fait… pénitence ?
    — Au contraire ! Sans toi, je n’aurais pas joui aussi fort. Ton amie Aline a raison de te rendre responsable des déboires de la dame, ajoute-t-elle en riant.
    — C’est ça ! Sans moi tu ne l’aurais pas arrosée ?
    — Un peu moins… avoue-t-elle en massant doucement ma cuisse du pied.
    — Ben voyons !
    
    Je ris à mon tour avant de l’interroger sur une question qui me turlupine.
    
    — Que penses-tu qu’elle nous prépare comme punition, « mon amie Aline », toi qui la connais mieux sur ce point ?
    — Oh, pour moi, je sais déjà. Elle a demandé de lui rapporter des orties demain, tu te souviens ? Je vais ...
    ... y goûter, ça, c’est sûr !
    — Oui, j’avais compris. Je te plains. Mais pour nous deux, ce supplément partagé ?
    — Va savoir, elle est pleine de ressources !
    
    Il faut que je lui avoue ce qui me travaille, cet intérêt marqué pour la présence d’un matériel d’épilation parmi les produits de beauté de madame C**. Elle ne réfléchit pas un instant.
    
    — Ne cherche pas, nous serons bonnes pour une épilation.
    — À la cire ? Chaude ? J’en frémis d’avance ! (Et c’est vrai.)
    — Tu peux, ma chérie ! Oh pardon, ça m’a échappé, se reprend-elle avant de poursuivre, taquine : sinon, elle aurait saisi l’occasion dès ce soir pour faire disparaître cette surabondance, là…
    
    Elle fait sauter son pied par-dessus mon genou pour titiller mes poils. Je l’imite aussitôt en pressant la pointe du mien sur sa touffe.
    
    — Et pas cette profusion inconvenante, ici ?
    — Arrête ! Tu vas me faire partir…
    — Bon, d’accord. Mais tu me racontes tes soi-disant ablutions avec Sandrine.
    
    Je retire légèrement mon pied, juste assez pour garder le contact avec son pubis sans appuyer, tout en cajolant sa cheville pour l’encourager. Elle fait de même et respire profondément avant de se lancer.
    
    — D’abord, on s’est vraiment lavé la chatte, si tu veux savoir. Pour le reste, eh bien, la petite pucelle est moins niaise qu’on aurait pu croire. Elle a joui deux fois, tu vois ? La deuxième fois, peu avant que la nièce – ah, c’est une cousine de… ? – bref, juste avant que la Viviane se pointe. J’avais encore Sandrine dans ...
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