1. Une exposition en appelle d'autres


    Datte: 04/05/2023, Catégories: fff, fagée, jeunes, profélève, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation rasage, nopéné, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... tante ! Il faut que je vous dise, se précipite Viviane. Quand je suis arrivée, Déborah et elle…
    — Faisaient leurs ablutions, je sais, tranche Marie-Blanche faisant mine d’ignorer la rougeur subite de sa bonne. J’espère que tu es propre, toi aussi, maintenant ? Bien. Alors, n’en parlons plus. Aline, ma chérie, me direz-vous à présent ce que vous comptez faire avec ce nécessaire de rasage ?
    
    J’écoute avec attention ce que tu lui exposes et qui éveille son intérêt. Il n’est pas question de ma touffe, en fait, mais de celle qui trône sur le pubis de Clémence. Il s’agit de la confier aux soins de Viviane pour l’éliminer. Il y aurait selon toi deux avantages : d’une part, vérifier l’expertise de l’une en la matière, et d’autre part, permettre à l’autre de gagner du temps pour demain. Marie-Blanche en voit un troisième, car, comme elle le dit, elle ne s’est jamais trouvée de ce côté de la barrière en de telles occasions. C’est donc avec un plaisir évident qu’elle propose d’affecter sa chère chauffeuse à la vulgaire fonction de fauteuil de barbier.
    
    À ton habitude, tu distribues les rôles à chacune sans objection d’aucune. La souplesse de Clémence lui facilitera une pose favorable à l’opération, sur le siège préalablement protégé d’une opportune serviette. Viviane, à genoux, mouillera, badigeonnera, rasera, rincera et essuiera. Il lui est vivement recommandé de n’oublier ni plis ni poil. Sandrine, à genoux aussi, lui servira d’assistante instrumentiste. Si besoin, ses mains ...
    ... seront requises pour tendre la peau, quel que soit l’endroit désigné. Il lui reviendra en outre d’étaler la crème apaisante là où sera passé le rasoir. Tout refus de sa part est exclu, se plaît à préciser Marie-Blanche qui prétexte trouver inconvenant que ce soit elle-même ou surtout Viviane qui le fasse, sachant ce qu’on sait.
    
    La raison avancée masque évidemment la prégnance d’un désir dont l’innocente Sandrine n’est que le truchement. Un transfert singulier qui étend jusqu’au scabreux le concept de bonne à tout faire… Négligeant de questionner cette réflexion sur le biais de ma propre attirance pour une peau que j’imagine douce et ferme, je me désintéresse de la mise en place des actrices pour me rapprocher de Déborah qui finit tranquillement de sécher ses cheveux. Lui prêter affectueusement la main me paraît un bon dérivatif de mes pensées lascives à l’égard de Clémence. Il ne change en vérité que l’objet de leur cours.
    
    Je profite de transmettre au salon de rasage la serviette devenue inutile pour confier à Marie-Blanche mon souhait d’utiliser son canapé afin de m’y reposer un moment. Absorbée par les premières arabesques de la lame sur la motte mousseuse, ce qui fait subir à Viviane la pression d’une double surveillance, elle m’approuve distraitement. J’entraîne Déborah avec moi, pressée d’entendre son récit de ces fameuses ablutions en compagnie de Sandrine. Avant de nous installer, je récupère le kimono abandonné sur le dossier et l’étends – tant pis pour sa valeur – ...
«1...345...12»