L'homme à tout faire au Cap d'Agde - Histoires de Sexe

L'homme à tout faire au Cap d'Agde

... Jean-Jacques qui est au pied du lit. Je lui demande ce qu’il fait là. « Je venais voir un appartement dans la cage d’escalier. Je voulais m’assurer que les réparations que j’avais faites tenaient bon. Et voir si toi aussi tu avais récupéré de l’autre jour. J’ai frappé une première fois et à la deuxième fois, il m’a semblé entendre « Entrez », c’est pour cela que je me suis permis. Bien que je sois encore un peu dans le coltard, je vois bien qu’à la bosse qui déforme son short, le gars est déjà en pleine forme pour me faire du bien. Je lui dis d’approcher. Il se met à genoux sur le lit et descend son short pour que je lui fasse une bonne pipe. Mais bien vite il a envie d’autre chose. Il se déshabille en un éclair et me prend comme l’autre jour sur le dos, les jambes à la verticale et mollets reposant sur ses épaules. Ça n’a pas duré longtemps, mais ça été très fort surtout que tu as vu la bite qu’il a, à chaque fois je la sens passer et comme elle est longue il vient buter contre ma matrice ; c’est super jouissif. Il ne devait pas avoir baisé depuis l’autre jour, car il s’est déversé d’un bon paquet de ...

... sperme qu’il m’a laissé en souvenir. Il vient de partir. Tu ne l’as pas vu ?
— Non, j’ai juste vu la voiture de l’agence qui est garée pas très loin. (faux-cul que je suis)

Mais faisant ni une ni deux, imaginant ce qui s’était passé et le récit d’Hélène m’ayant mis en bonne condition, j’investis à mon tour le vagin de ma belle. Quel délice de la baiser alors qu’elle est encore pleine du sperme de son complice. On a l’impression de rentrer dans la soie. C’est sublime ! Je me déchaîne à mon tour et le clic-clac vient encore frapper durement la cloison de l’estrade.

On ne pourrait plus se permettre cela aujourd’hui.

Je ne sais pas si c’était l’heure du réveil des voisins ou si ce sont les coups répétés dans la cloison, mais nous n’avons pas tardé à entendre la voisine couiner fortement.

— Qu’est-ce qu’il lui met le voisin, me dit Hélène
— Ou c’est peut-être Jean-Jacques, lui dis-je en rigolant.
— Ça m’étonnerait avec ce qu’il vient de me faire.

Nos vacances ont malheureusement vite pris fin et l’année suivante, nous sommes revenus au Cap, mais cette fois au camping, car nous avions une caravane.