1. L'homme à tout faire au Cap d'Agde


    Datte: 02/05/2023, Catégories: fh, fhh, candaul, grossexe, fépilée, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, Auteur: Pierre Clouzy, Source: Revebebe

    ... !
    
    Jean-Jacques arrive avec sa caisse à outils.
    
    — Allez-y ! Entrez ! Moi, je descends jusqu’à la voiture chercher quelque chose. Faites tout ce qui est à faire. Surtout, mettez bien la tête en place comme il faut, lui dis-je avec un clin d’œil.
    
    Il entre et salue mon épouse. Par contre, je ne claque pas la porte pour la laisser juste entrouverte ; comme cela en remontant je n’aurai qu’à la pousser pour entendre ce qui se passe dans l’appartement.
    
    La voiture étant au parking juste sur le côté de l’immeuble et je suis vite remonté. Bien sûr, j’ai pris soin de prendre quelque chose de façon à ne pas remonter les mains vides, ce qui aurait pu paraître bizarre. Je m’approche tout doucement de la porte et la pousse un petit peu. J’entends les bruits métalliques.
    
    — Parfait, ma p’tite dame, cette tête-là est bien en place. Je remets en eau et tout devrait être bon.
    
    Rapidement j’entends l’eau qui coule sur l’évier en inox. Hélène lui propose du savon pour se laver les mains.
    
    — Voilà une bonne chose de faite. À votre tour d’essayer pour voir si tout fonctionne bien.
    
    Hélène fait couler de l’eau.
    
    — Très bien. Bon ! Maintenant toute peine méritant salaire, mais surtout récompense, je vais préparer la suite.
    — Je suis bien de votre avis ! Et vous savez, plus le travail est bien fait, plus la récompense doit être à la hauteur, dit-il en rigolant.
    — Et comment je vais savoir si le travail est bien fait pour adapter la récompense.
    — Vous m’avez vu à l’œuvre, ...
    ... j’aime le travail nickel ; j’ai fait cela rapidement, proprement et avec compétence.
    — Je n’en doute pas.
    — Mais vous savez, il y a d’autres choses pour lesquelles j’ai aussi un peu de compétence, dont une, en particulier.
    — Ah ! Bon ?
    — Si vous voulez, je pourrai même vous faire une démonstration.
    — Nous verrons après l’apéro. Installez-vous ! Je prépare.
    — Mais votre mari ?
    — Ne vous tracassez pas, on peut commencer sans lui ; il a dû trouver quelqu’un pour discuter, il ne va pas en avoir pour longtemps. Il sait que je suis en bonne compagnie. Il prendra le train en marche.
    
    J’entends qu’Hélène ouvre le frigo, les verres qui s’entrechoquent, les bouteilles sur la table.
    
    — Qu’est-ce que je vous sers : rosé, pastis ou whisky
    — Whisky, je veux bien. Un doigt pour commencer (toujours ses phrases à double sens).
    — Glaçons, pas glaçons ?
    — Non sec, quoique ! Mais dites-donc, je ne sais pas quel savon que vous m’avez donné, mais j’ai les mains drôlement douces… Vous sentez comme elles sont douces et comme elles glissent bien ?
    — Hum !
    
    Ça y est, il a dû commencer les mesures d’approche en la pelotant. Cela dure un petit moment, où j’entends ma chère et tendre qui ronronne. Il doit être en train de la doigter, car rien qu’au bruit de ses claquettes sur le plancher, elle doit se trémousser d’un pied sur l’autre.
    
    — Hum ! hum ! huuumm ! On va aller sur le lit, nous serons mieux.
    
    Je n’ai juste le temps que de tirer un peu la porte, sans la claquer, qu’ils descendent ...
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