L'homme à tout faire au Cap d'Agde - Histoires de Sexe

L'homme à tout faire au Cap d'Agde

... les marches du coin cuisine pour aller s’étendre sur le lit.

Jean-Jacques doit faire vite pour se déshabiller, car j’entends les vêtements et les chaussures valdinguer sur le carrelage. Hélène étant dans le plus simple appareil est vite prête. Les lattes du clic-clac ne sont pas discrètes, car elles grincent un petit peu lorsque Jean-Jacques se met sur le lit.

— Ah ! Qu’est-ce qu’on est bien allongé ! Une petite gâterie maintenant en récompense.

Hélène ne se fait pas prier, car rapidement, Jean-Jacques pousse des soupirs de contentement.

— Oui, vas-y, suce-moi à fond.

Je vois que le tutoiement est entré en vigueur.

— Mets-toi sur le dos ! Relève tes jambes ! Mais dis donc tu es toute trempée, ça te fait de l’effet tout cela !
— Oh ! oui, vas-y !

Aussitôt : toc, toc, toc, toc, toc, toc. Et floc, floc, floc, floc

Je crois qu’il l’a bien enfilée et qu’il la laboure à cœur joie. Le clic-clac cogne d’une façon bien rythmée le long de la cloison de l’estrade et elle doit être mouillée comme une fontaine. C’est ce moment-là que je choisis pour rentrer. Je ferme la porte de façon qu’ils entendent que je suis là et je me pointe dans la pièce.

Mon Hélène est sur le dos, les jambes relevées à la verticale reposant sur les épaules de Jean-Jacques qui la lime consciencieusement. Ce qu’elle avait prédit est bien la réalité ; il est monté comme un âne le garçon, car dans ses mouvements de va-et-vient, je vois son mandrin d’une grosseur et d’une longueur à faire ...

... pâlir Rocco. Sûrement qu’elle doit le sentir passer et taper au fond de sa grotte, et en plus comme elle est placée là, il doit aller très loin dans son vagin.

— Alors, c’est comme cela que vous prenez l’apéro ?
— Com… me tu ne ve… nais pas, on a com… men… cé sans… toi, me répond Hélène entre deux hoquets à cause des coups de bite que lui administre le garçon.
— J’ai rencontré Martine et Gilles que nous avions vus l’année dernière ; ils sont juste dans l’escalier d’à côté.
— Viens… plus… tôt… nous… re… joindre.
— Je veux bien, mais comme cela ce ne va pas être très facile. Il va falloir changer de position ; mets-toi à quatre pattes.

Effectivement, Jean-Jacques s’arrête de la pilonner, Hélène se met à quatre pattes. Je m’allonge devant Hélène de façon qu’elle puisse me faire une pipe et Jean-Jacques la réinvestit et la fourre de nouveau.

M’adressant à Jean-Jacques :

— Alors ?
— Super ! Un régal de la baiser. On voit qu’elle aime ça !

Ce petit manège dure un petit moment avant que nous jouissions de concert ; Jean-Jacques lui en met plein la chatte et moi plein la bouche.

— Une douche nous fera du bien. Honneur aux femmes !

Nous prenons donc une douche rapide à tour de rôle.

— Un bon apéro sera le bienvenu.

Après nous être bien restaurés avec les tapas préparées par Hélène et en ayant mélangé, jus de fruits et whisky, Jean-Jacques nous quitte très heureux de cet intermède. Je ne sais pas comment s’est passé son après-midi, mais en ce qui nous ...