1. De la petite Marie à la redoutable Malika (4)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: ManuLolo, Source: Xstory

    ... moment de jouir, je me retirai du con de Marie, me frottai un instant sur ses poils avant que ma semences ne jaillisse en abondance sur sa toison blonde. Elle reprenait souffle. Je vis dans la pénombre sa main se diriger vers son sexe, caresser sa chatte souillée de sperme et ramener ce sperme vers les lèvres du con et les en enduire.
    
    Je me mis sur le côté, elle en fit autant, se calant contre moi. Je sentais les rondeurs de son cul pressées sur ma queue. Nous étions bien et je crois que nous nous sommes alors endormis.
    
    Lorsque j’ouvris un œil, il était 18 heures et Marie n’était plus dans le lit. Il y avait de la lumière dans la salle de bain et je frappai à la porte. « Marie, ça va ? Je peux entrer ? » Je poussais la porte et découvris Marie dans la baignoire. Il y avait des bougies allumées qui produisaient une lumière douce et diffuse. « Tu viens ? » - me dit-elle.
    
    Je la rejoignis dans l’eau parfumée aux sels de bain. Ses yeux étaient encore un peu marqués par la fatigue, mais elle souriait. Elle se retourna contre moi et je savonnai délicatement ses seins avant de les caresser avec la mousse abondante. Puis je le fis pour toutes les parties émergées de son corps avant de passer les mains de chaque côté de ses fesses, de toucher ses hanches voluptueuses et de toucher de nouveau la chatte profanée de la petite Marie. Elle se détendit entre mes bras. « C’est bien - me dit-elle – C’était bien, je suis bien... J’ai l’impression d’être une nouvelle personne tout en ...
    ... étant la même, j’ai envie de découvrir plein de nouvelles choses avec toi... » « Tu as tout le temps pour ça, répondis-je, profite bien... »
    
    Je me surprenais moi même. J’étais toujours celui qui avait pris Malika dans des situations torrides, j’avais baisé cette putain dans les plaisirs de l’enfer, j’en baiserai d’autres et pourtant je devenais une personne plus fine et attentive quelques instants... Je savais que cela ne durerait pas, mais cela me troublait fort néanmoins.
    
    — Tu penses à quoi ? me demanda Marie.
    
    —... Je pense à toi, à moi, à nous, et à la bizarrerie de la vie, parfois.
    
    — tout ça ?... oooh... L’eau est chaude, c’est bon, je me sens pure et pleinement femme, j’ai envie de tout...
    
    — Tu sais, j’ai passé un moment magnifique avec toi.
    
    — C’est vrai ? Oh, c’est gentil Ben...
    
    — C’est vrai.
    
    — Pourtant tu as connu plein de choses, toi...
    
    — Mmmm... si tu le dis...
    
    .
    
    Je repartis de plus belle dans mes pensées. Qu’allais-je faire demain, et les jours suivants ? Que Marie attendait-elle de moi ? Juste un peu de plaisir et de câlin ou une vie entière de bonheur conjugal et monogame ? Et cette garce de Malika ? Et les autres plans que j’avais en vue ? J’avais l’impression de réfléchir vainement.
    
    Je sortis du bain avec Marie et nous nous séchâmes l’un et l’autre avec la grande et douce serviette éponge de l’hôtel. L’heure était à la tendresse. Il était temps de se rhabiller, de se préparer pour le restaurant et la sortie du soir que j’avais ...