1. De la petite Marie à la redoutable Malika (4)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: ManuLolo, Source: Xstory

    ... même temps, descendit dans le lit pour approcher le visage de mon bas-ventre, caressa mes poils et prit mon gland en bouche en empoignant vigoureusement ma tige. Cela me fit l’effet d’une décharge électrique. Puis je sentis qu’elle me suçait, consciencieusement et vigoureusement. C’était vraiment délicieux et pourtant j’en avais connu, de bonnes suceuses...
    
    Elle remonta à ma hauteur. Je chuchotais : « Dis donc, Marie, tu as fait des progrès... tu peux me dire... ? ». Il me sembla qu’elle rougissait dans la pénombre : « C’est une amie qui m’a donné plein de conseils...
    
    C’est bien ? »
    
    Je me demandais bien qui pouvait être cette amie précieuse, mais elle ne me répondit pas. Je décidais d’enquêter plus tard. Dans l’immédiat, j’avais d’autres chattes à fouetter. Je repris l’exploration de son corps, lui retirai sa culotte pour redécouvrir la magnifique toison blonde que j’avais admirée lors de notre premier contact. Je lui écartai les cuisses pour brouter cette toison, lécher son aine, son ventre avant de poser la bouche sur les lèvres exquises du con de ma petite amoureuse, qui allait bientôt accueillir ma grosse queue. J’écartai doucement les lèvres pour passer ma langue durcie et recueillir le miel délicieux qui coulait de l’intimité de Marie. J’aspirai son clitoris. Je la sentis rapidement jouir et maintins l’activité de ma langue et de ma bouche tandis qu’elle prenait du plaisir. Son gémissement devenait alors une plainte qui m’excitait encore plus.
    
    Je revins ...
    ... vers son visage : « Tu es prête, Marie ? » Je la vis sourire comme un ange tandis qu’elle me répondait dans un souffle : « Ben, Ben, j’ai trop envie de baiser, baise-moi, baise-moi... ». Je ne sais pas si ce vocabulaire nouveau dans sa bouche lui venait également de son amie si pédagogue, mais je l’appréciai énormément, ayant toujours été sensible au pouvoir des mots crus qui m’excitaient au plus haut point. « Vite, Ben, baise-moi... »
    
    J’avais posé près du lit un flacon de gel lubrifiant dont je me saisis avec dextérité. J’en recueillis une bonne dose dans la paume de la main, m’en enduisis généreusement la pine. J’écartai les cuisses de Marie, dont je sentis la respiration accélérer. Puis je me positionnai, avançant doucement mon gland vers la toison blonde, puis sur les lèvres du con que je caressai un instant du bout de la queue. J’avançai délicatement puis saisis ses hanches. Je marquai un temps d’arrêt. Il me sembla que Marie ne respirait plus, mais elle répéta « baise-moi » et appuya les mains sur mon cul. J’introduisis tout mon membre dur d’un coup, tandis qu’elle sursautait et pleurait en me serrant contre elle. Je ne bougeais plus que quelques instants, séchant ses larmes avec le coin du drap. Puis je commençai à aller et venir entre les cuisses de ma chérie. Je l’embrassai sur la bouche, dans le cou, sur le front, je caressai ses cheveux tandis qu’elle me griffait le dos en me serrant contre elle.
    
    Je vivais un moment extraordinaire.
    
    Je ne sais pas pourquoi, au ...