1. De la petite Marie à la redoutable Malika (4)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: ManuLolo, Source: Xstory

    ... partout, parcourant ses globes de mes lèvres avides, suçotant et mordillant les pointes tandis qu’elle gémissait doucement, les mains sur ma tête. Comme toutes les femmes, elle était très sensible de cette partie du corps et je suis persuadé que cette excitation s’étendait alors à chaque partie d’elle.
    
    Elle approcha la bouche de mon oreille : « Tu sais, Ben, je prends la pilule maintenant ». « C’est super mon amour » - lui répondis-je en évoquant sans regret la boîte de préservatifs calée au fond de ma valise. En fait, si Marie n’avait pas encore eu de première fois, je n’avais jamais pour ma part eu la tâche de prendre une jeune femme vierge et de l’initier. Toute ma vie sexuelle, déjà riche à 25 ans, j’avais rencontré des femmes plutôt plus âgées que moi, très portées sur un amour débridé, pleines d’imagination, voire de « vice », si ce mot peut dire quelque chose entre adultes consentants, ce que je ne crois pas. Bref, la simplicité de l’instant m’excitait tout en me portant à la délicatesse, justifiée par la responsabilité qui me semblait devoir être la même.
    
    Mon vocabulaire changeait aussi ; je pensais que cette petite Marie de 18 ans aurait tout le temps de découvrir les méandres infinis du sexe tout au long de sa vie et que la période qui s’ouvrait à elle était un moment unique.
    
    Elle était blonde, douce et fraîche, avec des rondeurs subtiles et bien placées. Rien que ses seins valaient la peine d’y consacrer de longues et longues minutes. Ce que je fis bien ...
    ... volontiers.
    
    Je fermai en partie les rideaux de la chambre afin de créer une pénombre, une intimité propice et de ne pas gêner Marie par une approche visuelle trop crue. La première fois qu’elle m’avait dévoilée son corps, sous la tente, il faisait nuit et la pleine lune avait apporté une lumière discrète qui m’avait néanmoins permis d’évaluer la qualité de cette anatomie ne demandant qu’à s’exprimer de tous ses sens. Comme sous la tente, je redescendis ma bouche le long de son ventre et défis sa ceinture, le bouton de son jean. Elle souleva les fesses tandis que je finissais de la déshabiller, lui laissant seulement sa culotte. Puis je retirai mes chaussures et retirai un à un mes vêtements devant elle. Elle me regardait attentivement, placée en situation fœtale. Je fus bientôt vêtu de mon seul boxer noir. Elle se déplaça alors vers moi. J’étais à genoux.
    
    Elle fit de même, embrassant de nouveau mes lèvres avant de placer ses mains dans mon dos, de les descendre jusqu’à pouvoir caresser mes hanches et le haut de mes fesses.
    
    Je frémis à mon tour de ressentir ses petites mains à la fois inexpérimentées et avides du corps de son premier amant. Elle s’enhardit jusqu’à poser la main sur la bosse dure que faisait ma queue raide et entreprit de retirer l’ultime barrière de ma vertu (je plaisante). Soudain, prise de je ne sais quelle pudeur, elle me suggéra que nous allions sous la couette, ce que j’acceptais sans problème. Elle se serra contre moi, me caressant la queue en ...
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