1. De la petite Marie à la redoutable Malika (4)


    Datte: 07/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: ManuLolo, Source: Xstory

    Quelques jours seulement après l’épisode sexuel très particulier avec Malika, j’avais rendez-vous avec la petite Marie à la gare routière. Si j’avais bien compris, elle profitait du départ de ses parents en week-end pour prendre deux jours de liberté et, bien qu’elle fût majeure, elle avait prétexté deux jours chez une amie qui, apparemment, était dans la confidence et ne risquait pas de la trahir par inadvertance.
    
    J’étais vraiment ému à l’idée de retrouver ma petite blonde si pure et coquine à la fois, si inexpérimentée, mais dotée d’une telle envie d’amour physique sous toutes ses formes, de câlin et de tendresse.
    
    Lorsqu’elle sortit du bus, elle tourna la tête de tous les côtés avant de m’apercevoir derrière un pilier où je m’étais à demi dissimulé. Je me découvris et marchais vers elle tandis qu’elle se hâtait vers moi et tombait dans mes bras. Je l’étreignis tandis qu’elle m’embrassait longuement sur la bouche, tournant délicatement sa langue sur la mienne. Je la débarrassai de son sac et lui pris la main. Nous nous rendîmes au parking souterrain où j’avais garé ma modeste voiture, dont je tairai le nom et la marque, ayant néanmoins nettoyé de mon mieux tant l’extérieur que l’habitacle. Je lui ouvris la portière, en parfait gentilhomme, et fis le tour du véhicule pour prendre ma place. A peine assise, elle se colla de nouveau sur moi, m’embrassant longuement tandis que je caressai ses cheveux.
    
    — Oh, Ben, je suis trop contente, deux jours avec toi, ...
    ... emmène-moi !
    
    — J’ai tout prévu ma Marie, on prend la voiture et on file au bord de la mer. Dans 4 heures, on y est. J’ai réservé une chambre dans un bel hôtel. Tu verras, ce sera super.
    
    Elle consentit à me relâcher après dix minutes supplémentaires de gros bisous, au cours desquelles j’en profitai pour passer les mains sous son corsage, détacher délicatement son soutien-gorge pour caresser ses épaules, ses seins ronds magnifiques. Nous étions bien chauds, mais il y avait de la route. Durant tout le trajet, je sentais son regard énamouré sur moi, je tournais souvent les yeux vers elle, caressant doucement sa cuisse...
    
    Arrivés à l’hôtel (doublement étoilé), je me présentai à l’accueil, tandis que Marie, excitée et impressionnée à la fois, se tenait discrètement derrière moi. Nous prîmes l’ascenseur, face à face, et j’ouvris bientôt fébrilement la porte de la chambre. Les valises déposées, je pris Marie par la taille et la menai avec douceur vers le grand lit. Nous nous y serrâmes l’un contre l’autre en nous dévorant autant que nous le pouvions. Elle se pressait contre moi, caressait mes cheveux, mon dos, mes bras, chastement, mais avec fougue.
    
    Je mis les mains entre elle et moi pour lui dégrafer son corsage blanc, le lui retirai avant de passer les mains dans son dos, pour défaire son soutien-gorge, ce qui est toujours un exercice délicat. Je lui retirai l’ensemble avant de baisser le visage pour embrasser ses jolis seins, à la pointe assez large et au téton épais, la léchai ...
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