1. Je suis un jouet entre ses mains (8)


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: donico, Source: Xstory

    ... surprise, je sens alors un contact froid sur mes fesses. Il est en train de me les lubrifier !
    
    — S’il te plaît, Thomas, pas ça ! Je suis vierge d’ici...
    
    — Ta gueule ! Fallait y penser avant ! J’ai envie de me vider les couilles par là, et si ça te plaît pas, tu te casses !
    
    Je ne dis rien, mais mes larmes redoublent. Vu son état de fureur, j’ai d’autant plus peur de cette sodomie qui me terrifiait déjà auparavant. Heureusement, il ne lésine pas sur le lubrifiant.
    
    Soudain, je le sens contre moi. Son gland se présente à l’entrée de mon orifice... et il s’insère brusquement ! La violence de l’action me provoque une vive douleur ; j’ai l’impression d’être ouverte en deux ! Néanmoins, cette sensation ne dure que deux ou trois secondes avant de laisser place à une douleur très limitée. Puis bientôt, je n’ai plus mal du tout.
    
    Thomas, lui, apprécie. Il me donne de grands coups de bite en me tenant par les hanches, comme si j’étais un objet. Je ne sais pas pourquoi, mais ça me plaît, maintenant que la douleur est passée. J’adore l’idée qu’il m’utilise ainsi. Au bout d’un moment, je finis même par ressentir physiquement du plaisir. Je sens monter l’excitation tandis qu’il continue à me tringler, et je meurs de désir de me caresser. Je ...
    ... n’ose toutefois pas : je ne veux pas qu’il sache que je m’autorise à prendre mon pied. Je suis en train d’être punie, je dois l’accepter comme tel.
    
    Je prends quand même le temps de me dire qu’en une semaine, j’ai beaucoup changé. Malgré l’amour que j’éprouve pour Thomas, je ressens habituellement très peu de désir sexuel, alors que maintenant, je ne pense plus qu’à ça ! Je prends même du plaisir à me faire prendre par-derrière, alors que ça m’aurait semblé totalement inconcevable dix jours avant !
    
    « Mais qu’est-ce qui m’arrive ? »
    
    Thomas ne dure pas très longtemps, que ce soit à cause de l’étroitesse de mon orifice ou du fait de l’excitation due à la situation : il se déverse en moi avec prodigalité, sans se retenir de montrer sa jouissance par des râles bestiaux.
    
    Lorsqu’il a fini, il se retire, simplement, se rhabille puis file dans le bureau en m’abandonnant comme une vieille chaussette. Je sais que je le mérite, mais j’espère que cette situation ne durera pas, qu’il ne m’en voudra pas durablement, et surtout qu’il ne me quittera pas.
    
    Je prends aussi le temps de me dire que j’ai été bien stupide de ne pas tester plus tôt la sodomie, moi qui avais toujours eu si peur de la douleur... alors que ce n’est finalement pas si mal ! 
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