1. Je suis un jouet entre ses mains (8)


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Hétéro Auteur: donico, Source: Xstory

    ... explication satisfaisante à ça ?
    
    Il me montre de nouveau la vidéo.
    
    — Non, admets-je.
    
    Il s’assied néanmoins à côté de moi.
    
    — Je t’écoute, me dit-il en se calmant un peu.
    
    Alors je lui raconte tout. Le chantage, ma détresse, les épreuves. Je suis honnête, je ne cache pas les parties les moins glorieuses pour moi, lorsque j’ai accepté. Je pourrais lui faire croire qu’il m’a forcée à faire ces choses, ou même à les dire, mais je ne veux plus lui mentir. Je lui dois bien ça.
    
    « Qui sait ? Il a peut-être d’autres vidéos montrant d’autres choses. Lui mentir serait de toute façon trop risqué. »
    
    Lorsque j’ai fini, il se prend la tête dans les mains. Il sanglote.
    
    — Je suis désolée, murmuré-je à nouveau.
    
    — Comment tu as pu ne pas penser à moi ?
    
    — Je ne sais pas ; je suis tellement désolée...
    
    — Et tout ce que tu as fait...
    
    Je vois ce qu’il veut dire. J’ai accepté de faire des choses avec cet homme que je n’accepte pas avec lui. Comment pourrait-il comprendre ça ?
    
    — Il ne t’a rien fait d’autre ? me demande-t-il sèchement.
    
    — Non, je te jure.
    
    — Mouais... grogne-t-il.
    
    — Je suis tellement désolée... Je te ferai tout ce que je lui ai fait, je te le promets !
    
    Il ricane de nouveau, de cette manière si terrifiante.
    
    — Tu me laisseras passer derrière lui ? Comme c’est gentil !
    
    — Non, ce n’est pas ce que je veux dire...
    
    — Je m’en branle de ce que tu voulais dire ! Fous-toi à poil, salope !
    
    — Thomas, s’il te plaît...
    
    Il me fait ...
    ... peur.
    
    — Fous-toi à poil ou je me casse.
    
    « Non, je ne veux pas le perdre ! »
    
    En larmes, je commence à me déshabiller. Lorsque je me retrouve en sous-vêtements, il juge manifestement que je suis trop lente puisqu’il se jette sur moi et me les retire en les arrachant presque. Sa violence m’effraye. Il me soulève comme un cageot pour me retirer ma culotte.
    
    — Lève-toi ! m’ordonne-t-il dès que je suis nue.
    
    Je m’exécute, la tête baissée. Il se lève à son tour, me tourne autour. Comme s’il m’inspectait.
    
    Soudain, il me décoche une grande claque sur les fesses. La douleur et la surprise me font pousser un petit cri.
    
    — Ta gueule ! Si t’es pas contente, casse-toi !
    
    « Je ne veux pas partir... »
    
    — À genoux ! m’ordonne-t-il en me désignant le canapé.
    
    Là encore, je m’exécute sans un mot. Il attrape un tube de lubrifiant qu’il avait apparemment sous la main (il avait préparé son coup ?) et m’en tartine copieusement le vagin (délicate attention).
    
    — Tu la fermes ! gueule-t-il alors que je n’ai encore rien dit. Tu ne peux ouvrir la bouche que pour jouir !
    
    Il m’insère alors deux doigts dans la chatte, comme ça, sans prévenir. La douleur est à deux doigts de me faire crier, et la surprise m’empêche de me retenir. Je crie donc.
    
    La claque punitive est brutale.
    
    « Qu’est-ce que j’ai dit ? »
    
    Je me mets la main sur la bouche pour ne pas me plaindre, car ses doigts me masturbent sans aucune tendresse. Le procédé finit toutefois par me faire mouiller. À ma grande ...