1. Putain d élection


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... la porte afin que la pauvre collègue ne nous vit et que les autres en puissent déduire de folles choses. Selon elle s'asseyait face à moi croisant haut et ostensiblement ses cuisses ou carrément se posait sur le bord du bureau à peu de centimètres de moi. Le résultat de toute façon était que je bandais tel un malade et malheureux. Maintes fois me lâcha-telle : Tu es mignon. Dommage qu'Adeline en pince pour toi ! ».
    
    Plus d'une fois fus-je sur le point d'avouer mon désir et que je me moquais d'Adeline. J'étais devenu fou dingue et voulais devenir son amant. A chaque fois elle prévenait mon aveu par une pirouette ou disparaissait sur le champ. J'étais malheureux lorsqu'on me rapportait une de ses turpitudes. Ainsi pouvais-je haïr le godelureau dont on m’avait rapporté qu’elle l'avait sucé le midi sur un parking. J'étais malheureux qu'on l'affubla souvent du mot de putain. Elle se déshonorait ainsi que moi. Le pire était à venir.
    
    Je ne vis pas le coup venir. Armand m'assurait qu’elle venait peu dans son café. Aussi fus-je abasourdi de la voir débarquer un midi avec un nouvel homme. Celui-ci était manifestement copain et complice d'Armand. Il chuchota à l'oreille de celui-ci. Peu après je vis le couple monter à l'étage où sévissait deux ou trois chambres. Outre le voyageur de commerce certains couples coquins s'y épanchaient des fois. La garce ne daigna pas me regarder bien que je fus en vue au bar. Elle monta devant son amant roulant du cul et excitant alentour les ...
    ... autres mâles qui regardaient.
    
    J'étais stupéfait et écœuré. Armand perçut à l’instant tout mon désarroi. Il me tira d'autorité dans la cuisine pour un sermon. « On n'a pas idée de se mettre dans tous ces états pour une salope ! » « Vois-tu ici il y en a plus d'un qui l'a sauté dans mes chambres. » Ces paroles dures m’affectèrent à peine. J'étais groggy et ailleurs. Des envies de suicide ou de partir loin m'envahissaient. J’avais nausée de tout. A ce moment Armand fut traversé d'une idée décisive et diabolique. Toujours me tirant par le manche, il m'entraîna là-haut. Il voulait me jeter la vérité à la figure.
    
    Dans la chambre attenante à celle où ils baisaient il y avait une sorte de trou ménagé dans un mur. Armand en usait peu et il m'avoua que contre argent il consentait des fois à des vicieux de pouvoir se délecter de quelque ébat de couples. Là je pourrais mesurer le talent de ma pute et de son amant. Au départ il me poussa. J'avais l’œil mouillé de pleurs. Je ne vis rien au début. Il y avait une femme dessus un homme le cheveu en bataille. Elle avait le sein nu et le ventre gras. J'eus du mal à me remettre que ce visage put être le sien. Armand me poussa pour reluquer à son tour.
    
    Il ricanait. « La salope ! La furie ! Quelle gourmande ! Elle va le tuer le bougre. » Ainsi s’esclaffait-il tandis que je demeurais effondré sur ma chaise. Il me planta. Le boulot l'attendait. Il dit toujours goguenard. « Régales toi de la pute !' Puis il disparut. Je ne sais combien de temps ...
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