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Putain d élection
Datte: 06/09/2018, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
J'ai vite appris venu du fond de ma province. Ce fut mon premier job. Je dus en peu de temps apprendre les choses et les êtres. Ce fut violent et doux à la fois. J'en ai conservé la nostalgie des commencements. Dans ce paysage notamment se détache une femme qui à maints égards m'a fait aborder le continent du sexe. Je lui dois une reconnaissance éternelle. Je n'ai plus de nouvelles d'elle et de loin quoique ce soit le lieu où elle vit, je lui adresse sûrement ce texte et cet hommage. Nos débuts furent chaotiques. Je ne la désirais que de loin. Il est vrai j'étais jeunot. Elle mon aînée de vingt ans. Des témoignages récents nous ont rendu plus familiers voire indulgents à ces différences d'âge. Il est vieux comme le monde qu'un damoiseau soit attiré et fasciné par une femme sensuelle et d'âge mur. Celle-ci dépucelait et initiait volontiers. Elle n'en était pas à son premier exploit. Du premier coup d’œil elle put s'assurer de son pouvoir sur moi. Je concevais qu’elle avait besoin d'éprouver à chaque fois la force de ses charmes dans le miroir d'une nouvelle admiration. L'angoisse de ne plus plaire la taraudait sans doute. A mon grand plus dépit elle trônait dans le bureau d'en face avec une autre et jeune collègue. Je la pouvais considérer de profil admirant ses belles cuisses qu'elle croisait et décroisait à dessein comme pour me susciter d’indéfectibles érections. Trop de mâles à mon goût venaient la visiter. Ils étaient quasi tous à ses pieds. Nombre devaient être ...
... de ses amants. Sa collègue timide et cependant jolie était écrasée sous tant de personnalité. J'eus été mieux avisé de m'intéresser à elle plutôt qu'à l'autre garce superbe qui jetait des fois vers moi ses œillades libertines. Le midi je préférais écouter ma musique et m'enfoncer dans la lecture d'un livre loin du cancan des collègues. Ainsi avais-je trouvé assez loin un petit restaurant où sévissait la faune ouvrière avec laquelle je me trouvais plus à l'aise. Armand le patron planqué derrière le bar me prit en sympathie. Cela fut d'autant facile qu'il était de ma région et connaissait quelques de mes cousins et autres. Il s'institua bientôt comme mon mentor et père spirituel. Aussi me conseilla-il de me trouver rapidement une petite car disait-il goguenard : « Ton truc le soir cela rend sourd ! » Pour me débarrasser et lui donner le change je lui fis croire que j'étais entichée de ma petite et jeune collègue. Je me gardais de lui révéler que je me branlais au contraire sur la voisine de celle-ci. Il se fut sûrement moqué de moi et de mon goût. J'aurais pu longtemps garder le secret mais à mon grand dam la garce un midi vint s'encadrer dans la porte de l'estaminet avec un homme que je ne connaissais pas. Du moins il ne devait être de mes collègues. Je sus à leur manière d'être qu'ils étaient amants. Elle me reconnut et fit un signe mutin. Ce signe furtif n'échappa pas au regard avisé d'Armand qui avait en son antre l'œil sur tout. Il me dit mi-sérieux : « Tu connais ...