1. Putain d élection


    Datte: 06/09/2018, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... cette garce ? » Il vit la rougeur envahir mon front. En renard il perçut d'emblée mon désir pour cette femme. Cela ne l'étonna pas. Elle exerçait manifestement un semblable magnétisme sur tout mâle de quelque âge qu'il fut. Il ajouta : « Et ta jeune copine dans tout cela ? » Je penchais davantage la tête vers mes chaussures. Il put surprendre à la suite mes regards amers vers le couple qui riait là-bas. Il me confirma avec la dernière brutalité que ce type était en effet un de ses nombreux amants. Je touchais ce jour au cruel du réel.
    
    N'y tenant plus je n'eus de force d’attendre mon dessert. Je me levais. Je partis sans dire au revoir à Armand. Il me reprocha le lendemain ma fuite. Il me dit sentencieusement que cette garce ne méritait pas que je me mette dans tous ces états. Il m'assura cependant qu’elle venait rarement ici et que je pouvais à loisir revenir déjeuner. Nous convînmes de ne plus parler d'elle après que je lui eus avoué qu’elle était une de mes collègues. Il me plaignit et demeura muet après. La garce ne m'en alluma que davantage. Mon désarroi semblant à cet égard l'exciter.
    
    Peu de temps après elle vint me surprendre à la machine à café se proposant de me l'offrir. Magnifique, juchée sur ses mignons escarpins, elle n'avait jamais été si près de moi au vrai. Son corps saturé d'un chaud parfum semblait tel une planète à l'égard d'une plus petite, m'attirer. Je pus relever qu’elle était très maquillée. Elle avait outré le fard, le rouge et le noir. Elle ...
    ... avait de grands yeux clairs qui manifestaient une sorte d'innocence. Je concevais qu'on ne pouvait résister à un pareil cocktail. Je l'écoutais répondant par de pauvres balbutiements.
    
    Je mis du temps à percevoir le sens de ses propos. Elle ne disait pas moins que sa petite collègue avait le béguin pour moi. Trop timide elle ne saurait jamais faire le pas nécessaire. Bref elle intercédait pour elle. Je trouvais singulier sa démarche. Cette garce ne pouvait pas ne pas savoir mon grand désir pour elle. Elle me mettait à la torture et voulait m'éprouver et se moquer sans doute. Elle ajouta méchamment que j'étais trop pataud. Que je n’avais pas le droit de décevoir son amie et collègue. Elle comptait sur moi affirmant qu'elle ferait tout pour que cela réussisse.
    
    A partir de ce jour elle n'eût de cesse de venir me parler tout en me câlinant. Le prétexte était toujours le même. Il s'agissait d'Adeline, prénom de la collègue. Je voyais celle-ci rougir de loin. Elle devait être au courant de l'initiative de sa supposée amie. Son regard implorant semblait protester que tout cela n'était pas de son fait et qu'au grand dam jamais elle n'aurait jamais voulu ce genre d'intrigue. Je comprenais que trop que l'autre se jouait de nous et voulait particulièrement m’exciter ce à quoi elle parvint. Lâchement j'en vins à me prêter au jeu.
    
    Certains soirs après que mon collègue, un vieux monsieur s'en fut allé, elle venait vingt minutes me tenir le crachoir. Elle avait l'effronterie de fermer ...
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