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Putain d élection
Datte: 06/09/2018, Catégories: Anal Mature, Première fois Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... j'attendis. Au travers du mur on entendait leurs gémissements. Bientôt je fus à nouveau l’œil enfoncé dans le trou. Le gars rouge et furieux était derrière. Il la tirait par le cheveu. J'entendais distincts les insultes et jurons. Et elle de répondre du même ton « Encule moi ! » J'étais fasciné. Je me branlais. Au bout d'une demi-heure je me résolus à partir et fuir cette chambre. Baissant la tête je répondis à peine au salut d'Armand. J’avais hâte de respirer un autre air. Celui du dehors. La honte en moi le disputait à la colère. J’avais idée de dire ma vérité à cette salope. Je sus plus tard décidément impitoyable et sévère à mon égard qu'Armand avait tout rapporté à son pote après que celui-ci fut descendu. Celle-ci du coup sut que j'avais maté au travers du trou du mur. De ce détail je n'étais guère au courant lorsque que je lui fis une scène. Je pris prétexte qu'elle ne devait plus s'immiscer dans ma relation avec sa collègue. Nous étions assez grands pour gérer seuls notre affaire. Le caractère intrusif de ses paroles et de ses gestes ne pouvaient que nous nuire. Elle me laissa parler le long sans se départir d'une mine ironique et méchante. Aussi fus-je décontenancé quand elle m’asséna ces mots : « L'autre fois au café peux-tu me dire ce que tu as fait après que je sois montée avec mon ami ? » Je compris qu'elle savait. J'étais pris la main dans le sac. Je balbutiais me noyant irrémédiablement. Elle triomphait et n'eus de peine à m’infliger le coup fatal. « ...
... J'espère que tu t'es régalé. Hein mon cochon ? » Sur ce elle tourna les talons. A partir de ce jour elle ne vint plus m'entretenir. Elle me voulait punir de la façon la plus cruelle. Affectant de ne vouloir plus s’immiscer entre sa collègue et moi, elle me privait de fait de son unique présence laquelle m’était devenue indispensable après que je l'eus surpris dans les bras d'un autre et eu le témoignage de son vice et de sa lubricité. J'étais plus que jamais obsédé d’elle et de son corps. J'eus une brouille avec Armand. Celui-ci tout de mépris ne cacha pas sa perfidie. C'était pour mon bien. Il avait voulu me donner une leçon. J'étais trop con, trop niais. Il me représenta que j'étais un petit pervers et fameux hypocrite. Il me jeta par défi que je devrais assouvir mes envies et me taper plutôt des garces dont il avait toute une liste à ma disposition. Radoucissant le ton il me confirma qu'il avait une bonne amie qui volontiers me consolerait tout en m'initiant. A ma mine déconfite il vit que je ne songeais que trop à l'autre. Cela dura deux mois ainsi. Armand vit que la mélancolie l'emportait et que notre amitié courait un grand danger. Il se dit qu'il fallait soigner le mal par le mal et qu'il n'y avait qu'une simple issue à cela. Il obtint le téléphone de la garce. Il lui représenta que j'étais malheureux et qu'il était temps qu'on me libère de mon souci. La garce convint qu'elle ne me voulait pas tant de mal. L'un l'autre arrêtèrent un plan. La surprise fut complète. ...