Jusqu'où ne pas aller ?
Datte: 15/04/2023,
Catégories:
ff,
forêt,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
intermast,
jeu,
uro,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents : «Promenade au bois et balade en forêt », «Ivresse(s) » et «Expérimentations »
Promenade pour Chantal, balade pour Colette, cette innocente occupation d’un jour férié les amène, à leur corps et leur cœur consentants, à abandonner d’abord toute pudibonderie, puis toute retenue dans leurs échanges de bons soins. Poussées par la soif, et encouragées par leurs attentions mutuelles malgré l’échec d’une tentative de « randonu(es) », elles espèrent enfin se désaltérer au terme d’un parcours entrecoupé de pauses fiévreuses.
Balade en forêt
Mon short m’est déjà un peu juste – c’est pour cela que je l’avais acheté –, mais sur Chantal il moule tellement les fesses qu’il lui fend le cul en deux. Pour la vue, c’est encore mieux que s’il n’y avait rien. Pour le confort, surtout celui de la chatte, ce doit être plus que douteux. Mais pour exciter celle qui le porte, pas la peine de me faire un dessin ! Ou plutôt si : la tache qui assombrit le tissu entre ses cuisses est une illustration éloquente. Ma belle souffre le martyre pour sa plus grande joie, j’ai pu m’en assurer en l’aidant à faire chevaucher la couture à ses lèvres. Dommage de n’avoir pu prolonger l’exploration par manque de temps.
De mon côté, la culotte de Chantal ne pèse guère, elle aurait au contraire une propension têtue à glisser, surtout quand le bout d’une branche se faufile dans l’entrebâillement des aines. Ça me chatouille, voire plus, le minou et il me faut tirer sur la ...
... lingerie pour me dégager. J’ai déjà entendu deux ou trois crissements en faisant cela, et il est probable que des déchirures en aient résulté. Je ne m’en préoccupe pas trop : si son frou-frou n’est plus mettable, ce sera une raison pour lui demander de me le donner, comme souvenir.
Je rêvasse sur l’utilisation que je pourrai en faire dans mes masturbations futures lorsque Chantal se retourne vers moi (tiens, la tache sombre s’est élargie par-devant aussi).
— Je crois que nous y sommes !
— Pas trop tôt ! J’ai les jambes en compote, dis-je en avançant, ravie, vers la source promise.
— Colette ! Attends !
Son appel impérieux me stoppe dans mon élan. J’allais marcher sur un piège, ou quoi ?
— Je crois qu’on devrait vérifier qu’il n’y a personne, reprend-elle plus bas.
Elle a raison, bien sûr ! Où avais-je la tête ? Dans notre état (surtout le sien), échevelées, dépoitraillées, couvertes de brindilles et d’égratignures, la chatte à peine voilée ou hyper moulée et les yeux cernés (ben oui : la fatigue…), nous affolerions tout promeneur, solitaire ou non, en sortant du bois. Accessoirement, nos réputations personnelles seraient durablement atteintes. Mais ça, on s’en fiche un peu.
Partagées entre impatience et prudence, nous approchons avec circonspection de la lisière des arbres. Un bouquet de chênes verts nous offre un abri bienvenu. Serrées l’une contre l’autre, nous tendons l’oreille en quête de quelque bruit humain. Malgré le silence rassurant, nous prolongeons ...