1. Une journée qui commence mal


    Datte: 10/04/2023, Catégories: fh, fête, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... Voilà, hier soir, j’étais à une soirée…
    — Moi, pendant ce temps, j’épongeais.
    — Laisse-moi parler, c’est assez difficile. Une soirée un peu particulière. Je ne sais pas si tu sais, mais depuis quelque temps, je fais partie d’un groupe qui organise des soirées libertines.
    — Je te reconnais bien là. Coquin.
    — Oui, je sais. Mais le souci ce n’est pas moi, c’est ta femme, Agnès.
    
    Avec mon épouse nous échangeons un regard. Nous comprenons que Régis va la dénoncer. Le salaud. Mauvais joueur. Mauvais perdant.
    
    — Agnès ? Mais qu’est-ce qu’elle vient faire là ? Ne me dis pas que… Non, on s’est disputé et elle est partie fâchée, elle avait rendez-vous avec Nadia.
    — Justement, c’est Nadia qui l’a amenée.
    — Quoi ?
    — Oui. Elle est venue avec elle. Nadia aussi fait partie de notre groupe.
    — Tu me diras, cela ne m’étonne pas d’elle, mais tu disais… Agnès… Ne me dis pas que…
    — Je suis désolé d’être le porteur de cette mauvaise nouvelle. On était masqués, mais je l’ai reconnue.
    — Tu as pu te tromper.
    — Non, elle était juste à côté de moi… Avec un homme… Ils… Enfin, tu vois bien… Cela me fait mal de te le dire, mais c’était bien elle. Elle… enfin tu vois… Elle l’encourageait…
    — Ce n’est pas son genre.
    — Je suis désolé, mais si tu l’avais entendue, tu n’aurais eu aucun doute.
    
    C’est vraiment le dernier des salauds. Annoncer ainsi, avec ce genre de détails, qu’une épouse trompe son mari est une infamie.
    
    Il attend ma réaction. Qu’espère-t-il en faisant cela ?
    
    Agnès est ...
    ... atterrée. Moi aussi. On ne connaît jamais vraiment les gens.
    
    Oh, je ne vais pas le laisser savourer sa vengeance plus longtemps.
    
    Je fais mine d’appeler :
    
    — Agnès. Agnès, tu veux bien venir.
    — Non, non, ne lui dis pas que c’est moi qui…
    — Figure-toi que Régis vient de me dire qu’hier tu étais dans une soirée libertine et qu’il t’a vue te comporter comme une… salope. On peut dire ça, hein, Régis ?
    — Euh, non, je…
    — Régis, tu peux me donner plus de détail, elle semble tomber des nues.
    — Non, non, je suis désolé.
    — Mais ce n’est rien. Tiens je vais te dire… Tu me corriges chérie si je me trompe.
    
    On entend clairement le « oui ».
    
    — Pourquoi tu ne m’as pas dit qu’avant que tu la surprennes, tu étais venu la convaincre ? Oh, je dois dire que ta prestation pour la lécher était de tout premier ordre. Tu l’as bien fait jouir. N’est-ce pas, chérie ?
    
    Agnès parle en se rapprochant du téléphone :
    
    — Tu sais bien, puisque tu nous regardais.
    
    J’entends comme un hoquet dans l’appareil et aussitôt :
    
    — Tu étais là ?
    — Mais oui, depuis le début. Et après aussi. Ta partenaire était pas mal, mais à sa place, moi, j’aurais été vexée que tu ne regardes que la femme d’à côté. La femme et l’homme qu’elle a sucé, qui l’a possédée, et qui s’est fait une joie de se finir dans son petit trou.
    — C’était toi ?
    — Eh oui.
    — Tu vois, Régis, je voulais te remercier d’avoir servi de catalyseur pour qu’Agnès et moi nous nous retrouvions. Mais la dénoncer, et de cette façon… Je me ...