1. Une journée qui commence mal


    Datte: 10/04/2023, Catégories: fh, fête, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... m’étreint, m’étouffe, me branle, me pompe…
    
    Elle ne feint pas. Si elle se force à clamer plus fort que d’habitude son plaisir, cela lui va bien.
    
    Chérie, je t’aime… Tu me sens… Regarde comme je suis dur, d’une vigueur retrouvée, d’adolescent, de jeune homme qui encule son amante pour la première fois.
    
    Chérie je t’aime. La journée avait mal commencé, mais notre dispute et même le dégât des eaux ont été notre chance, la chance de nous retrouver. Je vais m’amender, travailler moins, te chérir plus, te gâter, t’offrir des bijoux, des vêtements, de la lingerie.
    
    — Oui… Oui… Oui… Ahhhhhhh !
    
    Tout le salon a dû l’entendre. Quel plus beau cadeau pour un homme, mari ou autre de pouvoir apporter tant de plaisir ?
    
    Sa jouissance est contagieuse. La capote recueille le fruit de notre amour.
    
    Régis n’est pas rancunier. Il me félicite par un « Bravo !» alors que nous nous séparons.
    
    La soirée n’est pas finie…
    
    Dimanche soir.
    
    Ils ont tenu parole : la pièce est sèche, même légèrement parfumée. Une literie neuve est prête pour de nouveaux ébats.
    
    Ce matin, après avoir bien profité, main dans la main, du spectacle que d’autres nous offraient et de ma libido retrouvée, satisfaite avec le concours expert de mon épouse, nous nous sommes discrètement éclipsés. Nous avons fini la nuit, enfin plutôt la matinée, dans ma voiture.
    
    C’est bon de se retrouver. Un regard suffit pour être heureux. Nous n’avons pas reparlé de cette aventure. Peut-être qu’Agnès a un peu honte ! ...
    ... Pas de s’être laissé manger la chatte par son ex, car tous les « je t’aime, merci » dont je n’ai cessé de l’abreuver pendant toutes ces heures sont des pardons bien volontiers accordés. Non, peut-être d’avoir montré un visage, une attitude, différente de l’habitude. Le jeu que je lui avais demandé de jouer s’est révélé manifestement excitant pour elle et lui a permis de se libérer comme jamais. Je l’entends encore hurler son plaisir. Certains doivent s’en souvenir encore.
    
    En début d’après-midi, Nadia l’a appelée, inquiète. Agnès l’a rassurée :
    
    — Oui, tout s’est bien passé ! Ne t’inquiète pas ! Je suis rentrée en taxi.
    
    Manifestement, pour l’instant elle ne sait rien, ni pour la fuite d’eau, ni que je pouvais être à leur fête, ni ce dont Régis a été le témoin.
    
    À la question : tu as fait quoi après mon départ ?
    
    Complétée par : régis est venu te voir ?
    
    Agnès a répondu tout en me questionnant du regard : « Je te raconterai ».
    
    C’est plus tard, en fin de soirée, que je reçois un appel de Jean, Jean Duverois, notre ami.
    
    — Julien, tout va bien ?
    — Oui, pourquoi ?
    — Ma fille vient de me dire que tu avais appelé hier pour un problème de dégâts des eaux.
    — Oui, c’est vrai, mais c’est réglé maintenant.
    — Ah ! Parfait.
    
    Je sens qu’il réfléchit. Va-t-il aborder le sujet de la soirée ? Sa fille a dû lui dire aussi que je devais être chez eux lorsqu’ils sont arrivés. Bien entendu, il sait aussi qu’Agnès était avec eux. Et donc qu’une rencontre avait pu se produire ...
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