Une journée qui commence mal
Datte: 10/04/2023,
Catégories:
fh,
fête,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
Il y a des jours comme cela ! Pourtant j’avais fait un effort. Mais c’est justement cet effort qui a déclenché mon premier problème.
Je suis toubib et je travaille trop. J’en ai conscience et je sens bien qu’avec Agnès, j’ai poussé le bouchon un peu loin. J’ai décidé de faire un effort. La preuve, ce samedi j’ai limité mes rendez-vous et arrive donc vers 14 h chez moi alors que d’habitude c’est beaucoup plus tard.
Nous habitons un petit appartement, une location, le temps que la maison que nous faisons construire soit achevée. Trois mois et on va rentrer « chez nous » fin septembre, si tout va bien. Notre fils est chez mes parents pour les vacances d’été et il ira ensuite chez les parents de ma femme.
Le suivi de la construction a été un poids supplémentaire. Même avec un architecte j’ai voulu suivre et contrôler. Je fais toujours les choses à fond.
Agnès est dans la salle de bain. Je lui signale mon arrivée par un :
— Coucou, c’est moi.
Le « Je suis là » est moins enthousiaste que j’attendais. Elle est en effet dans la salle de bain. Je ne veux pas la déranger, aussi c’est derrière la porte que je lui annonce la bonne nouvelle.
— Chérie, tu as vu, je me suis libéré plus tôt. On pourrait faire du shopping, si tu veux, et après aller dîner dans un bon resto.
Mais la voix derrière la porte me douche par un :
— Comme d’habitude tu ne m’as pas écoutée lorsque je t’ai dit, il y a trois jours, que je devais retrouver Nadia pour faire les boutiques avec ...
... elle.
— Ah ! Je ne me souviens pas.
— À part ton travail et cette satanée maison, il n’y a de place pour rien d’autre actuellement.
— La maison se termine.
— Oh, je ne suis pas inquiète, tu vas bien trouver de quoi m’éviter.
— Mais de quoi parles-tu ? Tu es injuste. Je fais de mon mieux. Voyons Agnès…
Et je pousse la porte de la salle de bain. Elle est dans une position étonnante. Un pied par terre, l’autre sur le bord de la baignoire, surplombant ainsi le tabouret sur lequel est posée un miroir. Elle tient un rasoir… non, une sorte de petite raclette dans une main alors que de l’autre, elle écarte… Elle s’épile. L’odeur du produit parfumé, la couleur de la crème qu’elle ramasse avec sa raclette, s’ouvrant au mieux afin qu’elle puisse atteindre son anus.
— Qu’est-ce que tu fais ? demande-t-elle. Tu sais que je n’aime pas que tu me regardes quand je m’épile.
Elle me fait face et son pubis, ses lèvres brillent, encore humides après l’épilation. Elle est ouverte et lorsque je fais un pas, le miroir me montre son anus qu’elle libère de la crème épilatoire.
Alors, je ne sais pas ce qui me prend, mais la façon dont elle m’a éjecté de son après-midi et cette découverte presque obscène me font dire, me croyant drôle :
— C’est pour Nadia que tu te fais belle ?
Elle me regarde. Que voit-elle sur mon visage ? Mais elle me répond du tac au tac :
— Pour mon amant, bien sûr ! Pour qui d’autre ?
— Cela ne m’étonnerait pas !
— Quoi, qu’est-ce que tu viens de dire ...