1. Une journée qui commence mal


    Datte: 10/04/2023, Catégories: fh, fête, Oral préservati, pénétratio, fsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... Leur faire honte. La mettre devant son indécence, sa trahison.
    
    Mais elle résiste.
    
    — Régis, arrête, je ne peux pas. Je n’ai pas le droit.
    — Chut. Juste une fois. J’ai envie de toi chaque fois que je te croise. Ton mari est un idiot. Il ne sait pas la chance qu’il a. Moi, chaque jour, plusieurs fois même, je t’aimerais, je te donnerais du plaisir, ce plaisir que tu mérites, qu’il gâche parce qu’il ne pense qu’à lui, qu’à son travail.
    
    Les mains de l’homme se promènent sur son corps. Est-ce qu’elles le reconnaissent l’ayant caressé pendant longtemps même si le temps est passé ? Oui, oh que oui, car elles arrachent des gémissements, des petits cris, des gestes de refus, mais qui ne sont que pour mieux s’offrir.
    
    — Régis, s’il te plaît.
    
    Mais il n’écoute plus. Ses lèvres glissent sur la poitrine offerte, jouent avec les tétons, alors qu’une main est descendue plus bas, entre les cuisses, des cuisses que je vois s’ouvrir pour elle.
    
    Alors elle est vaincue. Oh elle ne cesse de dire « Non, il ne faut pas. » Mais pas plus, pas de vrais refus, pas de fuite !
    
    Il a gagné.
    
    Mais un sursaut.
    
    — Non, arrête.
    
    Il obéit. Elle est presque étonnée qu’il n’ait pas continué. Elle essaye cependant de reprendre un peu de tenue. Elle ne peut refermer sa robe, le tissu ayant été repoussé par des mains audacieuses, mais l’intention y est.
    
    — Comme tu veux.
    
    Un silence.
    
    — Quel dommage ! Depuis combien de temps ton mari ne t’a pas caressée ainsi ?
    
    Une main revient ...
    ... doucement, effleurant de la paume un téton qui ne peut nier qu’il est excité.
    
    — Ou bien comme tu l’aimes tant.
    
    Ce n’est plus sa main, mais son visage qu’il promène sur le corps, descendant lentement vers une intimité que je vois se découvrir.
    
    Il a mis sa tête entre ses cuisses. Déjà elle gémit. Il doit la lécher, lui aspirer le clitoris ! Je vois aussi une main qui se glisse sous lui et à la façon dont le bras bouge c’est pour aller glisser un doigt ou deux dans une fente que le salaud prépare de sa salive.
    
    Elle gémit. Cette fois-ci, elle est vraiment vaincue. Agnès ne sait pas résister à ces caresses. Je le sais, mais cela fait longtemps que je n’ai pas pris le temps de le faire.
    
    Mon Dieu, elle enveloppe sa tête avec ses cuisses pour le retenir.
    
    Il est trop tard pour moi. Je pourrais intervenir, mais je vois bien que c’est trop tard, lorsque Régis insiste. Qu’elle pose ses mains sur sa tête pour le guider alors que des « Non, il ne faut pas » sortent de ses lèvres, accompagnés de soupirs et gémissements qui font qu’il ne peut que traduire par des « Encore, continue, c’est bon ».
    
    J’assiste à la jouissance de mon épouse. Un feulement si long que c’est moi qui suis maintenant vaincu. Oui, Régis vient de me montrer sans le savoir qu’il avait raison, que j’avais oublié ce qu’elle aimait, que depuis des… oui des… Mon dieu depuis si longtemps… Je n’avais entendu ces cris de jouissance, incapable de lui donner ce plaisir si simple qu’elle demandait.
    
    Il se relève ...
«12...91011...21»