La boutique de Diane
Datte: 03/04/2023,
Catégories:
f,
fh,
fff,
grp,
magasin,
sexshop,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fsodo,
jouet,
attache,
totalsexe,
Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... rappeler que nous avons une dînette à faire, que si je cherche toujours un appart, elle a un truc pour moi. Jessica ayant adopté soutif et string en cuir venant chercher sa commande me dit de prendre quinze jours de vacances, que nous aurons du boulot par la suite, les autres clientes espèrent me revoir. Diane leur confirme que je ne serais jamais bien loin.
Diane qui assure que je ne serais jamais très loin, Jessica qui me propose je ne sais quel boulot, Max, le patron de la boîte qui leur demande de me cocooner et compte sur moi pour l’ouverture d’un club au château, le mystère de la fantôme pas résolu, Valérie qui me convoque jeudi et me dit de ne pas prendre d’autres engagements, avouez qu’il y a de quoi en perdre son latin. Je suis un bateau sans gouvernail errant au gré des vents et des courants de mon entourage. Et moi qui me veux indépendante !
La deuxième
Le dimanche, à la coloc, je retrouve Alban rentré la nuit de son déplacement. On se galoche comme ça quand on est amoureux ? Notre habitude devient un rite, j’ai droit au cunni que j’enchaîne par une fellation, cela apaise nos sens. Nous nous racontons notre semaine.
— Waouh, Caro, deux entretiens bien mystérieux.
— Quand je sais, je te dis. Que je te raconte ce que Diane a mijoté vendredi soir.
Il m’écoute religieusement, l’air malicieux :
— Et tu as détesté…
— Tout à fait. Il me manquait une queue à sucer. Al chéri, tu bandes dans ma main, j’aurais aimé dans ma bouche, on est de revue, hein ...
... !
Nous rions de nos bêtises.
— Caro, ma maman veut te connaître, elle nous invite un dimanche midi.
— Pas de souci. Je ne bosse plus le dimanche pour l’instant. Si tu veux me demander en mariage, je te dirais ni oui ni non, que peut-être. Tu connais déjà ma mère, je lui ai fait une scène pour qu’elle ne te mette plus la main dans le string.
Il éclate de rire en disant qu’il fallait l’excuser.
— Ça par exemple ! Ça t’a plu !
— Tu es d’une mauvaise foi !
Je saute du coq à l’âne :
— Al, mon chéri, si tu veux, on se fiance et basta, c’est plus facile à rompre qu’un mariage. Et n’oublie pas, PAS de bague.
— Tu sais ce que tu veux.
— Toi !
Il est surpris de la rapidité qu’il va en débander… Eh bin, non, il me prend par le bassin.
— Tu me fais quoi ? le défié-je.
— Je tiens plus ! Depuis deux jours, je fantasme de te prendre par derrière. Je sais pas pourquoi…
— Je m’y suis préparée…
Il comprend de suite, se dépêche de sortir le lubrifiant, je l’attends les fesses en l’air un doigt massant le clito, je suis bien humide, mais laissons-le faire. Le voilà rentré en douceur, je m’entête sur ma demande :
— T’en penses quoi si nous nous fiançons ? Réponds !
— Que… Heu…
Le trouble lui fait remettre trop de lubrifiant, ça me coule le long d’une cuisse. Il me lime la rondelle pour arriver à fond et là :
— Caroline, veux-tu me prendre pour fiancé ?
— Oui, oui…
Et rhan ! Il m’en soulève de m’en remettre encore un peu… De joie ou d’insolite du moment ...