Just a perfect day... - Histoires de Sexe

Just a perfect day...

... Hortense décide qu’elle a trop chaud avec ses collants et s’assoit au bord de la fontaine pour les enlever. Déchaussée, elle se trempe les jambes dans l’eau et s’offre même le luxe de m’en lancer. J’admire cette adorable fille aux si jolies gambettes faire l’andouille dans le bassin ; je l’aide ensuite à se sécher en lui essuyant et lui frictionnant les pieds. Je savoure le regard attendri qu’elle m’adresse ; saisissant la main qu’elle me tend, je l’attire à moi et l’embrasse.

Descendant encore vers le cœur historique, nous partageons un cornet de frites, que nous dégustons en traversant les galeries royales Saint-Hubert. De là nous partons nous régaler les yeux et l’estomac rue du Beurre, rejoignons la Grand Place, saluons le Manneken-Pis, nous lançons à la recherche de sa petite sœur. À un moment donné Hortense saisit ma main, et c’est comme un couple que nous parcourons le cœur de Bruxelles. Je suis euphorique.

Nous prenons ensuite le train pour le nouveau musée consacré au monde ferroviaire. Il s’avère impressionnant et sa visite en compagnie d’Hortense est un plaisir. Plaisir de découvrir ensemble l’histoire du réseau ferré belge, de nous extasier devant les locomotives d’autrefois, et de nous bécoter dans les nombreux coins sombres.

— Pipi ! s’exclame soudain Hortense à la vue de toilettes handicapés. Elle s’y engouffre, m’entraînant par le bras, s’installe sans tarder sur le trône et fait son affaire en surjouant son soulagement. Mon air gêné l’amuse.
— ...

... À toi maintenant, lance-t-elle en se relevant.
— Euh.
— Allez c’est bon quoi, j’ai déjà vu ta bite !
— Dans un autre contexte.
— Allez !
— Bon… capitulé-je en déboutonnant mon pantalon. Cap.

Me regarder uriner la met en joie. Elle insiste pour « tenir la bête » et m’égoutter elle-même.

— J’adore les zizis, me confie-t-elle en s’accroupissant, avant de porter le mien à sa bouche.
— Attends au moins que je m’essuie.
— Je m’en charge, me lape-t-elle avec gourmandise.

Sa langue titille mon gland puis se délecte de ma hampe. Elle me prend ensuite entièrement en bouche, et les va-et-vient de ses lèvres ont tôt fait de réanimer mon sexe, qui durcit en même temps que le désir de la posséder me reprend.

Je la relève et la fais se pencher sur le lavabo, pendant que je libère son arrière-train de sa prison textile.

— Quoi, encore ? proteste-t-elle faussement tout en se lubrifiant de salive.
— Je vais te réorganiser le transit intestinal à coups de…
— Ta gueule et baise-moi.

Ses entrailles sont brûlantes, une vraie chaudière. Je la pistonne avec entrain. Hélas, après des premiers instants prometteurs, mon sexe trahit sa fatigue et, malgré l’accélération de mes coups de reins, je suis bientôt obligé de déclarer forfait…

— Bouh, c’est quoi, ça ? Que de la gueule !
— Pardonnez-moi ma sœur, parce que j’ai trop forniqué.
— Pauv’ti chat. Assieds-toi, on va arranger ça…

Elle m’installe sur les WC et entreprend de me masturber d’une main, en me massant les ...