1. Dressage d'une belle-mère


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Mûr, Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... lâché un pet involontaire tant son cul souffrait de cette bite qui la fouillait, je l’ai empalée aussi sauvagement que je le pouvais, et j’ai ramoné son conduit, sortant presque entièrement ma queue pour entrer plus fort et plus loin, à chaque fois elle pêtait, libérant les gaz qui lui encombraient les boyaux. J’y prenais du plaisir : sortant lentement la bite, libérant le conduit anal, et les gaz affluaient créant des pêts retentissants. Et quand le cul se taisait, je replongeais dans ces entrailles malmenées, fouillant plus loin le ventre de belle maman. La pauvre femme ne contrôlait plus rien, incapable de se retenir, elle laissait faire son corps qui dégazait tant et plus.
    
    Le jeu a duré plus d’une demie heure où je lui ai labouré le cul, elle gémissait faiblement sous moi, vaincue, se laissant aller, je devais même la soutenir.
    
    L’envie de décharger m’est venue enfin, je me suis penché sur elle et j’ai murmuré à son oreille « Où veux tu que je décharge mon sperme ? dans ton cul ou dans ta chatte ? ou encore dans ta bouche ? »
    
    Elle a secoué la tête de droite à gauche avant de répondre dans un souffle, « Je n’en peux plus fait vite où tu veux, mais fais vite tu m’as tué ! »
    
    Je triomphais, pour le plaisir j’ai continué à la limer encore cinq bonnes minutes, le temps de la réflexion, puis je suis sorti de son anus. « Tournes toi ai-je commandé. »
    
    Lentement elle s’est redressé et m’a fait face. J’ai été impressionné par ce visage défait et d’une pâleur de ...
    ... linge.
    
    « Allonge toi sur le dos »
    
    Je l’ai moi même saisi sous les épaules pour l’asseoir sur la table et elle s’est allongé là, les jambes pendantes dans le vide, inerte. J’ai pris ses jambes et je les ai hissé sur mes épaules, après quoi ma bite est entré en elle, là où je l’avais auparavant labouré furieusement et j’ai poussé à fond. Elle a poussé un long cri de douleur quand j’ai heurté l’utérus tout en se raidissant brusquement. D’un seul coup, la douleur qu’elle avait presque oublié lui ai revenue. Son vagin s’est contracté sur ma queue toujours fiché au fond d’elle et j’ai laissé mon plaisir m’envahir alors qu’elle se tordait de douleur sous moi, incapable de s’échapper de mon étreinte. Une longue plainte aiguë accompagna mon flot de sperme trop longtemps retenu, des spasmes pulsaient tout autour de ma queue et le foutre coulait refoulé du vagin.
    
    J’ai lentement relâché mon étreinte, ma belle mère ne bougeait plus, elle respirait à peine.
    
    J’ai sorti ma queue encore raide de sa fente sans qu’elle n’ait de réaction, elle gisait les bras en croix sur la table de la cuisine, les jambes écartées et pendantes. Le sperme coulait d’entre ses fesses et commençait à former une petite flaque sur le formica luisant.
    
    J’ai regardé le spectacle du fluide qui coulait lentement, longtemps, sans réaction moi non plus. J’étais épuisé par tant d’effort et de tension nerveuse, je me sentais comme une poupée de chiffons.
    
    Comment ai-je eu la force de la prendre dans mes bras et la ...