1. Dressage d'une belle-mère


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Mûr, Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... Jean-François, vous avez eu ce que vous vouliez ? Maud vous a vidé les couilles ? »
    
    D’abord terrassé par ce langage cru, j’en demeurais pétrifié, la bouche ouverte sans que je ne puisse sortir un mot. « Ne faites pas cette tête Jean-François, je connais le sens des mots moi aussi, ce n’est pas parce que je suis votre belle mère que je suis incapable de vous dire bite et couilles ! »
    
    Je finis par sortir trois mots indignés, « Je fais ce que je veux avec ma femme » tout cela débité d’une voix blanche.
    
    « Et avec votre belle mère, Jean-François, vous faites quoi ? » me répondit elle en se pendant à mon cou. « J’ai mouillé pour toi toute la journée, avec mon cul à l’air, je sentais le vent passer entre mes cuisses, et chaque fois je pensais à ce que tu pourrais me faire. J’ai eu honte de sortir sans soutien gorge, je sais, il ne sert pas à grand chose, mais je suis une femme et un soutien gorge est un vêtement que portent les femmes, sans lui je me suis sentie nue, simplement parce que tu m’as dit de ne pas en mettre. Jean-François je t’ai obéi, je n’ai cessé de penser à toi toute la journée pour en fin de compte te trouver à la clinique en train de te faire sucer par ma salope de fille ! »
    
    Je la regardais incrédule, ces mots étaient comme dans un rêve, irréels. Comment ma belle mère pouvait elle parler ainsi, y compris de sa fille ? « Tiens, mets ta main entre mes cuisses, tu vas voir comment je trempe, là donne ta main laisse moi faire, je vais te faire voir ...
    ... comment je mouille pour toi, pour ta queue ! » Elle a pris mon poignet et a guidé mes doigts sur son entre cuisses sous sa jupe. J’ai senti ses poils pubiens, elle a insisté et frotté ma main sur sa chatte pour que je sente sa moiteur. Quand j’ai eu la sensation chaude et humide de son sexe, j’ai dégagé mon poignet et je me suis mis à la fourrager furieusement, palpant durement son entre cuisses qu’elle m’offrait en ouvrant ses jambes.
    
    « C’est bon non ? c’est chaud et mouillé tu sens ? Oh oui palpe moi la fente salaud, vas y, prends ce que tu veux, fouille moi la chatte ! mets y les doigts, mets y ta bite, ce que tu voudras y mettre, fourre moi la fente mon beau fils vas y, vas y ! »
    
    Je regardais fasciné son visage chaviré par le délire, sa tête qu’elle hochait de droite à gauche et qu’elle rejetait en arrière, cambrant ses reins et offrant son ventre à ma rugueuse caresse.
    
    Je l’ai prise ainsi, dans la cuisine, je lui ai ordonné de se pencher en avant et de se tenir à la table, de cambrer ses reins. J’ai relevé définitivement sa jupe sur ses fesses et j’ai défait ma braguette. Ma bite a jailli et sans plus attendre j’ai fourré mon membre dans la raie sombre de son cul. En m’aidant de mes doigts j’ai cherché la fente qui s’est ouverte sans mal et j’ai guidé mon gland jusqu’aux lèvres chaudes qui l’ont englouti.
    
    Un coup de rein m’a propulsé en son ventre et j’ai limé méthodiquement, comme un mac lime sa pute, par devoir et pour lui montrer que l’homme est l’homme et que ...
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