Dressage d'une belle-mère
Datte: 13/01/2018,
Catégories:
Mûr,
Auteur: byJipai, Source: Literotica
... chacun doit rester à sa place. Je n’avais pas envi de jouir, j’étais froid, appliqué dans la baise, ramonant cette fente entre ces cuisses ouvertes, ce fessier offert, tendu en l’air et soumis. J’ai poussé mon braque à fond, j’ai touché son utérus, elle a tressailli et j’ai poussé plus fort, conscient et content de lui faire mal. Elle a gémit d’abord puis elle a poussé des cris de douleurs tandis que mon gland battait le fond de son vagin et finissait par lui tirer des plaintes. Ses cris de douleurs m’ont stimulé, ma bite a encore grossi, j’ai poussé encore contre la paroi qui arrêtait ma course, frustré de ne pouvoir aller plus loin, ma belle mère criait maintenant sa douleur en me suppliant d’arrêter, mais je la tenais fermement par les hanches. Quand elle voulait se débattre, je m’affalais sur elle de telle sorte qu’elle ne pouvait plus bouger et qu’elle recevait ma queue plus profondément dans des râles de douleur plus que de jouissance. Je voulais lui faire mal, qu’elle se souvienne de cette soirée, qu’elle soit SA soirée et que sa vie durant elle sente cette douleur au fond de sa chatte.
Dans ses cris et ses râles elle s’était mise à pleurer, des sanglots venaient se mêler à ses suppliques, je la sentais proche de la rupture, mais je voulais aller aussi loin que possible, qu’elle ait le souvenir de ma bite à jamais gravé au fond de sa chatte.
« Arrête !! je t’en supplie, je ne peux plus supporter, non, arrête, je t ‘en supplie arrête ! » et à chaque supplique ma ...
... bite plongeait au plus profond de son ventre avivant la douleur en elle. Quand elle ne fut que pleurs et sanglots, pantelante sur la table de cuisine, sans force et sans réaction, je mettais fin provisoirement à son supplice. Je sortis ma queue de son ventre et le gland toujours dressé, je le dirigeais vers l’étroit conduit de son anus. Mes doigts toujours guidant la tête durcie de ma queue, je me présentais à l’entrée et forçais sauvagement le sphincter de ma belle mère. Curieusement, il n’y eu qu’une faible résistance et ma bite s’engloutit dans le conduit étroit et noir. Je poussais de plus belle, fasciné de voir ma queue disparaître peu à peu dans ce cul malgré tout assez dodu.
Elle gémit encore sous l’assaut mais ma bite passa sans contrainte et je limais encore une fois ce trou réservé à l’homme qui était le maître de la femme. Réellement, à cet instant j’avais dans la tête l’image du souteneur baisant sa pute, à la fois par plaisir et aussi pour lui montrer qui est le plus fort et qui peut le mieux la baiser. J’étais presque persuadé du fait que ma belle mère était ma pute et moi son souteneur, c’était par devoir que je la baisais, et aussi pour lui faire comprendre que j’étais le maître. Elle m’avait trop humilié par ses airs supérieurs et ses sourires en coin pour que je ne prenne maintenant ma revanche.
A elle de connaître l’humiliation, j’ai poussé ma bite aussi loin que possible dans sa chair, son ventre a gargouillé sous la poussé de mon membre, elle a même ...