1. Dressage d'une belle-mère


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Mûr, Auteur: byJipai, Source: Literotica

    Cette histoire n’est pas tout à fait sortie de mon imagination. Elle a un semblant de réalité mais je ne vous dirais pas où commence la fiction, à vous de voir, d’imaginer, d’envisager.
    
    Nous étions à la fin du mois de Juin et ma femme était entré en clinique pour accoucher de notre second enfant. Comme pour le précédent, elle avait préféré passer sa grossesse auprès de sa mère loin de notre logis. C’est donc chez belle maman que je me rendis dès qu’il me fut annoncé la naissance de notre fille. Bien que fatigué par la longue route, je me précipitais à la clinique à peine descendu de la voiture pour aller voir à la fois la mère et l’enfant. Je trouvais tout le monde en pleine forme, j’étais aussi ravi qu’un jeune père peut l’être et le soir venant, je m’en retournais chez ma belle mère le cœur léger.
    
    Belle maman habitait tout près de la clinique, à peine à deux pas. D’ailleurs on apercevait la clinique depuis son appartement et j’aurais presque pu voir ma femme si la fenêtre de sa chambre eut donné de ce coté. C’est dans cette clinique que tout ses petits enfants étaient nés d’ailleurs, car ma femme avait d’autres sœurs et toutes étaient venues là, pour accoucher.
    
    Ma belle mère avait alors cinquante huit ans, elle était veuve depuis plus de trois ans maintenant et vivait seule la plupart du temps dans son appartement. Je dis la plupart du temps car l’appartement en question ne se remplissait que pour les fêtes familiales. Le reste du temps belle maman vivait toute ...
    ... seule. C’est donc une femme seule que je retrouvais ce soir là.
    
    Oh ! n’allez pas croire qu’un feu érotique coulait en mes veines à l’idée de passer quelques jours en tête à tête avec ma belle mère. Non, c’était plutôt le contraire. Pour tout vous dire je l’appréciais peu et elle me le rendait bien pour des raisons historiques trop longues à aborder ici. Enfin, la cohabitation était courtoise sans plus. C’est dans cet esprit qu’elle me reçut, souriante quand même mais avec cette réserve que toujours elle me faisait sentir.
    
    Ma belle mère était une grande femme très mince, les lèvres pincées en permanence avec ce port hautin que confère ce petit grade acquis dans l’administration et qui permet de montrer suffisamment de dédain pour le petit personnel que l’on a sous sa coupe. Elle était arrivé là à force de persévérance et aussi en se montrant docile avec ceux qui pouvaient favoriser sa carrière. Mais ça, je ne le sus que plus tard et m’expliqua bien des attitudes.
    
    Ses cheveux étaient grisonnants, de temps en temps elle se risquait à une teinture qui mettait des reflets dans ses boucles permanentées et bien rangées tout autour de son crane. Son maquillage était toujours impeccable, rarement je la vis sans qu’elle fut fardée, les yeux faits et la bouche recouverte de rouge. Une femme bien propre sur elle quoi ! toujours en tailleurs de la meilleure coupe, toujours en corsage, toujours élégante mais d’une élégance froide qui mettait de la distance entre nous, car moi j’étais ...
«1234...17»