1. Dressage d'une belle-mère


    Datte: 13/01/2018, Catégories: Mûr, Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... Il ne lui faut pas longtemps pour mettre à nu mon engin et pour décalotter le gland. Aussitôt elle tombe à genoux et se met à me pomper le nœud avec conviction. Je laisse faire, trop mal réveillé pour réagir, je tends ma bite vers cette bouche accueillante qui ne se fait pas prier pour sucer la verge offerte.
    
    Les bandaisons matinales sont très raides, mais aussi éphémères, et je ne tarde pas à me répandre dans la bouche bien peinte de ma belle mère. Elle reçoit mon sperme avec maîtrise, je ne peux qu’admirer sa virtuosité à avaler jusqu’à la dernière goutte et sans que rien ne déborde du flot impétueux qui se présente à ses lèvres. Quelques coups de glotte et le liquide visqueux a disparu dans son ventre. Elle se redresse et rien ne saurait trahir ce qui vient de se produire. Elle est très propre sur elle, sa bouche semble n’avoir jamais vu couler mon foutre et son maquillage est impeccable.
    
    Cette séance m’ayant éveillé, je lui demande si elle a mis une culotte.
    
    _ « Non, bien sur, puisque c’est votre désir ! pas plus que de soutien gorge. »
    
    Par acquis de conscience je passe une main sur son corsage strictement plat. Sous le tissus soyeux je sens ses tétons, seuls protubérances de cette poitrine. Je titille la pointe sous mes doigts et aussitôt ma belle mère se met à gémir.
    
    _ « Non Jean-François, pas ça, pas maintenant, j’ai des courses à faire, il faut que j’y aille. »
    
    Je n’ai pas lâché le morceau aussi facilement et j’ai continué à la peloter encore ...
    ... un moment malgré ses protestations, tirant de sa gorge des râles de plaisir et de dépit tout à la fois.
    
    Quand je l’ai estimée assez chaude je lui ai rendu sa liberté, elle était rouge d’excitation et elle a littéralement fuit, la chatte très probablement bien mouillée.
    
    *
    
    La journée se passa lentement, finalement, j’avais hâte que Maud sorte de cette clinique et que nous reprenions notre vie normale. Mes petites soirées avec Belle maman étaient certes forts réjouissantes mais son corps ne m’inspirait guère, sa poitrine plate surtout, moi qui aimais par dessus tout les gros seins, j’étais frustré par ce poitrail d’adolescent de ma belle mère. Je préférais de loin les nichons bien gonflés de sa fille. Je ne pouvais d’ailleurs pas m’empêcher d’y glisser mes mains pour tâter sa chair chaude et élastique sous sa chemise de nuit, au point de déclencher une envie de sexe chez la jeune accouchée.
    
    Comme la veille, nous fîmes notre petite affaire dans la salle de bains, à l’abri de visiteurs intempestifs. Du moins le croyons nous, car à peine avais-je joui dans la bouche de ma femme, que la porte de la chambre s’ouvrait sur ma belle mère.
    
    Nous sortions un peu gênés de la salle de bains sous le regard stupéfait de belle maman. Elle ne dit rien néanmoins, très femme du monde sur son quand à soi.
    
    Mais le soir, dans son appartement, dès que j’en eu fermé la porte, je me heurtais à son regard narquois et ce rictus qui fleurissait au coin de ses lèvres minces : « Alors ...
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