1. Un petit séjour au paradis


    Datte: 18/03/2023, Catégories: fh, ff, couleurs, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, policier, lesbos, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... musique douce et envoûtante. Une des houris nous ramena une corbeille de fruits, une autre du Coca Cola avec des glaçons.
    
    Mélissa rapprocha sa bouche de la mienne et se mit à siroter mes lèvres. Les houris se chargèrent d’enlever ce qui couvrait encore nos parties intimes. Mon sexe parut grand, lisse et miroitant ; il avait gagné quelques centimètres lors du voyage interstellaire. Mélissa le tint de ses doigts racés et une houri vient apposer se langue de soie sur mon gland. Je m’en trouvai tellement excité que je manquai éjaculer. Mais mon jet se renfila et je sus que j’avais le pouvoir de le contrôler comme je le voulais. Deux houris se mirent à m’astiquer le sexe avec leur langue alors que deux autres réchauffaient Mélissa en lui léchant les seins. Cela se poursuivit un certain temps que je ne puis mesurer, peut-être une éternité. Puis Mélissa vint sur moi et enfonça son sexe au plus profond sur mon axe raide. C’était chaud et envoûtant. Son sexe coulissa sur le mien alors qu’elle me regardait avec des yeux doux et fascinants. Nous restâmes ainsi une autre éternité. Les houris nous regardaient avec ébahissement et nous caressaient les flancs.
    
    Et ça durait, ça durait…
    
    OooooOOOOOOooooo
    
    Encore une fois une main me réveilla, mais doucettement cette fois-ci. J’ouvris difficilement un œil. Des taches et des couleurs claires. Puis le contour se précisa, c’était Carole Duval qui me faisait un grand sourire.
    
    — Je suis au paradis ? lui dis-je avec peine.
    — Non, ...
    ... amour, tu es à Ouaga.
    
    Progressivement je pus reconnaître l’espace autour de moi. J’étais au chaud dans un grand lit douillet couvert d’édredons et soutenu par des coussins soyeux. Une grande fenêtre laissait passer, à travers des voiles fleuris, une légère lumière du jour. Des tableaux de maîtres impressionnistes embellissaient les murs. Mademoiselle Duval était assise à mon côté, dans un fauteuil crapaud.
    
    — Mélissa, elle est où Mélissa ?
    — Elle va bien, me dit Carole, je vais tout te raconter.
    
    Ma douleur au crâne avait disparu, mais je sentis que j’avais un bandage autour de la tête.
    
    Elle me tendit un verre et je pus prendre un peu d’eau.
    
    Me sentant un peu plus en forme je redressai le buste et m’adossai à la tête de lit.
    
    — Raconte-moi tout, où est Mélissa ?
    — OK, me dit Carole, mais retiens-toi un peu, il y a plein de choses qui vont t’étonner.
    — Vas-y, je ne peux plus attendre.
    — Mamadou et Mélissa voulaient soutirer l’argent à Monsieur Farina et se barrer après, mais tu as mis en échec leur plan.
    
    Elle se tut un instant et me laissa ingurgiter ce qu’elle avait dit. Elle me regarda dans les yeux et vit mon incrédulité.
    
    — Continue, lui dis-je, n’arrivant pas encore à croire que Mélissa m’avait piégé.
    — Tout le monde savait que Farina magouillait ses factures, mais personne n’osait le dévoiler, car il était puissant. Il était capable de soudoyer les hommes politiques, les juges, les douaniers les policiers. Papa savait tout et lui faisait les yeux ...
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