1. Un petit séjour au paradis


    Datte: 18/03/2023, Catégories: fh, ff, couleurs, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, policier, lesbos, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... doux, il est vrai que la banque est gagnante en fin de compte, et plus il surfacturait plus la banque gagnait des commissions. Il n’avait aucune raison de protester.
    
    Elle but une gorgée d’eau et reprit :
    
    — Bien évidemment la banque mère a été mise au courant par les actionnaires de Monsieur Farina qui commençaient aussi à soupçonner ses manœuvres et il y avait un scandale dans l’air. C’est pour cela que la disparition de Monsieur Farina arrangeait tout le monde.
    — Et Mamadou ?
    — Mamadou est arrivé pour faire le sale boulot. Mais personne ne l’a poussé à le faire. Il a voulu soutirer l’argent à Monsieur Farina et le plus simple c’était de l’espionner par Mélissa. Il devait se marier avec Mélissa, mais ils avaient ajourné le mariage jusqu’au jackpot. Ils pensaient se tailler après ailleurs dans le monde. On estime à trois ou quatre millions d’euros les gains illicites de Monsieur Farina. Il y a de quoi se permettre une bonne retraite aux Bahamas. D’ailleurs Farina aurait dû en profiter avant de se faire prendre, mais il était insatiable et il voulait encore plus.
    — On l’a retrouvé ?
    — Oui, dans la même villa où on t’a retrouvé. Il était ligoté et portait des traces de torture. Mais il avait résisté et ne leur avait rien dévoilé.
    — Comment vous m’avez retrouvé ?
    — Je ne te cache plus que dès le début mon père t’avait fait espionner par un homme de confiance qui suivait tous tes gestes et déplacements. Je prenais parfois son relais avec mademoiselle Leroy. On avait ...
    ... peur pour ta vie. Mamadou était hors soupçons jusqu’au soir où on a voulu t’écraser par un bolide. On l’avait pris en photo et on avait enquêté et appris qu’il s’agit d’une bagnole que Mamadou avait louée pour la besogne. Le conducteur était Ibrahima. Depuis on a mis Mamadou, Mélisssa et Ibrahima sous surveillance. Hier je t’avais suivi de loin jusqu’au restaurant où tu cherchais Mamadou. Après t’avoir cogné à la tête avec la crosse d’un pistolet, ils t’ont mis dans une petite bagnole et ils t’ont déposé dans un hangar à la périphérie de la ville pendant deux heures. J’étais là à surveiller tous leurs mouvements. Une autre voiture est venue après pour t’amener jusqu’à la villa où on t’a retrouvé. C’était loin d’une trentaine de kilomètres, au cœur de la brousse. Un squat que personne ne pouvait soupçonner. J’ai pu les suivre sans me faire prendre. Je suis bourgeoise, mais j’ai un peu de sang chaud dans les veines. Une fois que j’étais sûre de leur repaire, j’ai prévenu mon père qui a prévenu aussitôt les gendarmes. Ils ont hésité avant de prendre d’assaut la villa, tout le monde craignait pour ta vie.
    
    Ses paroles ne me laissèrent pas de marbre. J’eus du mal à retenir mon souffle et mon crâne me faisait de plus en plus mal.
    
    — Et qu’en est-il de Mamadou et Mélissa ?
    — Dans l’assaut de la chambre où tu étais… Mamadou était armé et le commando spécial était dans l’obligation de le neutraliser rapidement. Il a péri dans l’échange de tirs. Mélissa a reçu une balle à l’épaule, ...
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