1. Un petit séjour au paradis


    Datte: 18/03/2023, Catégories: fh, ff, couleurs, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, policier, lesbos, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... Alors tu l’as kidnappé ! Il se peut qu’il se trouve dans cette baraque, dans une chambre à côté. Tu veux lui soutirer le mot de passe et il te résiste. Je parie que c’est le cas.
    — T’as aucune preuve sur tout ça !
    — Si, quelques-unes.
    — Lesquelles ?
    — Ahh, mon associé aura tout le plaisir de te les montrer demain, une fois que t’auras été coffré.
    
    Il commença à faire le tour de la chambre, absorbé dans une grande réflexion. Il vint enfin me parler.
    
    — T’as tout vrai, à part un truc.
    — Ah bon, c’est quoi ?
    — Tu vas le savoir tout de suite.
    
    Il cliqua des doigts, tout en criant :
    
    — Fais entrer la belle !
    
    On ouvrit la porte de l’extérieur et deux colosses de la taille d’une armoire chacun poussèrent Mélissa dans la chambre.
    
    Elle était toute nue et cachait son sexe avec ses mains.
    
    Elle trébucha et vint s’asseoir à mon côté.
    
    — Alors, champion, me fit Mamadou, tu appelles ton associé et tu lui dis que tout va bien, sinon je m’occupe de la belle.
    
    En parlant, il força son pouce dans la bouche de Mélissa, puis il sauta derrière elle, l’enserra et prit ses seins entre ses mains. Il les pressa et elle parut en souffrir.
    
    — Je peux le faire aujourd’hui, mais qu’en est-il demain ?
    — Fais-le aujourd’hui déjà.
    — Je l’appelle de l’hôtel à minuit.
    — OK, on va vérifier ça.
    
    Il prit son téléphone et appela quelqu’un pour lui demander de vérifier les appels de l’hôtel. Comme je frimais, je fis mon possible pour ne pas paraître troublé.
    
    Mamadou revint ...
    ... triturer les seins de Mélissa.
    
    — Que dis-tu d’une petite sucette, ma belle, je veux une petite sucette.
    
    Il mit sa main sur sa braguette.
    
    On entendit un échange de coups de feu. Mamadou lâcha Mélissa, sortit un pistolet et se mit genoux à terre à côté de la porte. J’entendis encore des coups de feu puis le craquement de la porte défoncée et une épaisse fumée qui envahit tout l’espace. Je ne voyais plus rien, entendis une rafale de tirs et sentis des souffles de balles au-dessus de ma tête. Je perdis encore une fois connaissance.
    
    OooooOOOOOOooooo
    
    Retour au paradis
    
    Je me réveillai de mon sommeil et me retrouvai dans mon jardin fleuri. Les houris étaient revenues de leur envol et avaient revêtu leurs taffetas de mousselines colorées. Elles étaient alignées devant moi et me regardaient avec admiration. Cette fois elles étaient bien féminines et tellement belles que je ne pus me déterminer quant à leur réalité. Elles me regardaient avec appétit et paraissaient prêtes à bondir pour me déchiqueter comme les ménades en avaient fait du pauvre Orphée.
    
    Je cherchai à comprendre le changement de leur attitude quand je sentis une douce main qui vint me chatouiller le torse. Une main que je connaissais bien, la main de Mélissa. Je me tournai vers elle et la trouvai plus resplendissante que jamais. Elle portait juste une petite culotte et un soutien-gorge.
    
    Les houris se rapprochèrent de nous et nous entourèrent en faisant froufrouter leurs taffetas. On entendait de loin une ...
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