1. Un petit séjour au paradis


    Datte: 18/03/2023, Catégories: fh, ff, couleurs, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, policier, lesbos, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... sentiments. Il était sympathique sans plus, et avait une bonne situation qui me permettait de sortir de ma misère. Il m’avait proposé de devenir sa deuxième femme.
    — Deuxième femme ?
    — Oui, il est musulman et peut avoir quatre femmes
    — Oh oui, j’ai oublié ça.
    — J’ai refusé, je ne peux pas être deuxième femme d’un mec.
    — Vous vous êtes séparés quand ?
    — On ne s’est jamais vraiment séparé, mais je sors plus avec lui depuis deux mois.
    — Et qu’est-ce qu’il fait tous les jours dans ton bureau ?
    — Il essaie de me convaincre du mariage. Il revient toujours au même point. Il ne peut pas divorcer, car il est marié à sa cousine et cela lui créera des complications familiales.
    — Humm, je vois. Il s’absente tous les jours de midi à 14 h, tu sais ce qu’il fait ?
    — Il doit manger aux Pirates, un restaurant pas très loin d’ici
    — Et le soir, il fait la java ?
    — Non, ce n’est pas trop son genre. Il passe pas mal de son temps au bar avant de rentrer chez lui.
    — Bof ! Rien de spécial.
    — Non, rien.
    
    J’allai la libérer, mais me revint une dernière question.
    
    — Il a des relations avec mademoiselle Duval ?
    
    Son regard, bien que teint de timidité et de peur, se voulut accusateur :
    
    — Pas à ce que je sache.
    — Et mademoiselle Leroy ?
    — On a jasé à leur propos avant qu’on sorte ensemble.
    
    À la fin elle était presque en pleurs, je la laissai filer.
    
    Mélissa sortie, j’appelai Ibrahima et lui demandai de me trouver un peu de temps libre à midi. Il me rappela à midi trente ...
    ... pour me dire qu’il m’attendait en bas.
    
    — Désolé Monsieur Samir, j’ai ramené Monsieur Duval chez lui, me dit-il dès que je m’installai dans la Mercedes.
    — Il n’y a pas pourquoi, Ibrahima, tu connais le restaurant les Pirates ?
    — Oui, Monsieur Samir, un petit restaurant très chouette, on peut y manger des bons poissons. Vous voulez que je vous y emmène ?
    — Oui, oui, mais je n’y vais pas pour manger. Arrête-toi cent mètres avant le restaurant et attends-moi un quart d’heure. Si je ne suis pas de retour dans une demi-heure, tu rentres. Je me dérouillerai seul après.
    
    Ibrahima démarra la voiture et s’engagea sur la grande artère, puis fit trois ou quatre virages, dévala une pente et entra dans une petite rue bordée de palmiers. Il s’arrêta net :
    
    — C’est cette rue, vous avancez encore une peu et vous allez trouver à gauche. C’est écrit en grand au-dessus.
    — Merci Ibrahima, lui fis-je.
    
    Je lui rappelai la consigne avant de quitter la bagnole.
    
    J’avançais dans la rue d’un pas pressant. Je regardais partout, les chopes, les boutiques, les petites rues à côté. Arrivé devant le restaurant je tentai de jeter un coup d’œil rapide à l’intérieur, mais le verre fumé ne laissait rien filtrer. Je continuai mon chemin en descendant la rue jusqu’au bout, soit environ deux cents mètres. La rue s’arrêtait net en versant sur une rue un peu plus large. Je jetai un coup d’œil à gauche, puis à droite. Alors il me sembla apercevoir de loin la bagnole qui m’avait foncé dedans il y a deux ...
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