1. Me abbandono a te


    Datte: 07/03/2023, Catégories: fh, boitenuit, amour, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, sm, amouroman, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... cou.Hey, tu n’y es pas mec, je viens pour m’envoyer en l’air, pas pour jouer la romance ! C’est un truc d’amoureux çà, le bisou dans le cou ! C’est une marque de tendresse, de complicité intime. T’es pas dans l’mouv’là ! N’empêche que ce bisou m’avait collé le frisson :Oh le con, il est pas vrai ce mec ! Et puis, on entre chez toi. Alors là, je sais, c’est complètement idiot, mais, idée préconçue, j’avais imaginé déboucher dans un studio, plus ou moins en bordel et pas très propre, où un immense lit aux draps douteux tiendrait la vedette : un studio de play-boy de supermarché avec le tableau érotique made in China, nana à poil sur fond bleu métallisé clinquant et leds étincelantes. Le top du top quoi ! Or, je découvre un appart superbe, propre et rangé, cosy, où des meubles rustiques en bois naturel ou polychrome voisinent avec des éléments très contemporains, de bonne facture et pas du tout tape-à-l’œil. Ni les nordiques en kit, ni les éternels Le Corbusier ou les incommodes sièges Starck, mais du beau, simple et confortable. Idem pour la décoration, du bon goût, pas d’agressivité ou de surcharge.
    
    Je me souviens effectivement de son air étonné et ravi alors qu’elle détaillait les objets et tableaux. Tout juste l’avais-je vue tiquer en regardant une des toiles, un nu en l’occurrence.
    
    — Je suis ravi que le décor t’ait plu. Et amusé par tes idées préconçues ! Mais, si tu as été surprise par le décor, je peux te dire que toi, tu m’as scié à ce moment-là ! Quand je t’ai ...
    ... proposé un verre, histoire de ne pas te pousser direct vers la chambre, tu m’as répondu :Non merci, mais je prendrais bien une douche ! Si tu permets, j’y vais la première. Futée la gonze, le message était doublement clair : primo, tu évitais toute confusion, « j’y vais la première » donc seule, et deuxio, « la première » ne laissait aucun doute :Pépère, tu passeras d’abord sous l’eau si tu veux grimper sur moi.
    — Bah, les odeurs de transpiration, ce n’est pas top-top, non ?
    
    Comme j’acquiesce, elle reprend la parole :
    
    — Pendant que tu prenais ta douche, ayant enfilée ma grande chemise – j’ai mes petites pudeurs – j’ai été assaillie par le doute : est-ce que j’ai bien fait, est-ce que je ne devrais pas filer tant qu’il est encore temps –il est chelou ce mec ! Franchement, je n’étais plus très sûre de moi. Et voilà que tu sors de la salle d’eau, une serviette autour de la taille. Là encore, je sais, c’est idiot, mais si tu t’étais pointé à poil, braquement en l’air, je n’aurais plus eu de doute :Hulk va me sauter, me buriner, me baiser. Point. Un bourrin !, Mais non, tu t’allonges tranquillement contre moi.Donne-moi tes lèvres. Ce n’est pas un ordre, pas même une demande, c’est une supplique que tu m’adresses. Je te tends mes lèvres, et tu me bécotes d’abord, presque timidement avant que tes baisers ne s’affirment, ne s’appuient… et ne m’enflamment. Et ta main, au lieu de filer malaxer un de mes seins plus ou moins durement comme je l’avais craint, ta main se glisse dans ...
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