Me abbandono a te - Histoires de Sexe

Me abbandono a te

... chemise qui jusque-là masquait son entrejambe et je découvre, ravi et surexcité que la coquine a profité d’être seule pendant que je préparais les cafés pour se débarrasser de sa culotte en coton. Entre les cuisses désormais assez généreusement ouvertes, je voyage entreGroß Deutschland et USA, de la petite Forêt-Noire de sa motte au Grand Canyon ruisselant. J’adôôoore cette géographie !

Fière de son effet, Clara me défie du regard :

— Tu sais, tu devrais libérer ta queue ou elle risque de forer un passage au travers de ton short !

Je ne me fais pas prier et vire de concert short et slip. Et tant qu’à faire, j’enlève mon t-shirt. Nu, je me rassois, braquemart en main.

— Doucement la paluche, me conseille la belle avant de s’enfoncer dans le canapé et de refermer les yeux.

Sa voix à nouveau baisse d’un ton et de quelques décibels, pour se faire caressante, ensorcelante. Clara reprend son récit, sa main gauche titillant toujours un téton, la droite plongeant vers son ventre :

— Quand je dis que je me liquéfiais, je parle au propre comme au figuré. Entre mes cuisses, je sentais rouler un torrent bouillonnant. Mais ça, tu le sais, tu t’en es rendu compte quand ta main a glissé sur mon brugnon. Mais je vais trop vite : d’abord, tes doigts se sont perdus dans la broussaille de mon petit triangle bouclé, ont caressé mon bombé insolent. Puis deux doigts ont glissé de part et d’autre de ma fente, en évitant soigneusement mon bouton impatient. Tes phalanges se sont ...

... baignées dans le torrent, noyées dans ma mouille. À cet instant, j’avais autant envie de t’embrasser que de te battre : tu me faisais subir une insupportable torture incroyablement délicieuse. Tu t’ingéniais à éviter soigneusement et mon clito et mon tabernacle ! L’horreur ! J’avais envie de te hurler de branler mon bouton et de me fourrer tes doigts dans la boutique, et en même temps, je jouissais de ce désir douloureusement submergeant.

Clara halète bruyamment, le rouge lui est monté au visage, son corps s’est arqué. Moi, totalement hypnotisé par le spectacle, je tente de garder le contrôle, monself-control, osant à peine toucher mon chibre tendu. Je me sais au bord de la rupture, mais voudrais plus que tout au monde qu’elle m’invite à la rejoindre. Passer à l’action, ne pas rester spectateur. Mais je ne veux prendre aucune initiative, je ne veux la forcer d’aucune manière, quand bien même l’impatience me tétanise.

Plongeant une main dans la petite poche de sa chemise, elle en sort une capote et me la lance.

— Viens, viens maintenant, je te veux en moi ! Fini le spectacle ! Viens, je n’en peux plus de t’attendre, supplie-t-elle.

Répondant à sa supplique, je me lève et m’approche, mais je suis bien décidé à ne pas lui obéir ! Plonger en elle, la buriner direct,cash, sans fioriture ?Niet ! Je veux plus, plus, et bien davantage encore !

L’attrapant par la main, je l’oblige à se relever et l’entraîne dans le couloir malgré ses protestations. Mais si elle a rechigné ...