1. Rituel (1)


    Datte: 03/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jamie64, Source: Xstory

    ... qu’elle n’a en fait jamais vraiment cessé d’être. Elle portait encore ses vêtements de la journée, un chemisier blanc sur une jupe bleu marine en laine, les jambes gainées dans son collant couleur chair.
    
    Maintenant donc, une bonne dizaine de minutes plus tard, je l’entends ouvrir la porte de la salle de bain avant de commencer à descendre l’escalier, elle s’est changée, s’est préparée pour la fin de la soirée et pour la nuit, robe de chambre et chemise de nuit sans rien en dessous. Je le sais, et c’est dans cette tenue qu’elle viendra me réveiller demain matin pour que j’aille en cours, et il m’est déjà arrivé de voir ses tétons pointer à travers l’étoffe. J’ouvre doucement ma porte et traverse le palier sans faire de bruit, avant de m’enfermer à mon tour dans la salle de bain qu’elle vient de quitter, laissant l’atmosphère encore toute saturée de ses effluves.
    
    Comme d’habitude, j’avise le tabouret sur lequel elle a laissé en tas les vêtements qu’elle vient à peine de retirer, et il me suffit de soulever un peu le chemisier pour découvrir ce que je cherchais, mon trésor quotidien, la culotte qu’elle a portée durant la journée, posée sur le soutien-gorge blanc en dentelle. Parfois, elle est tout simplement posée sur le reste de son linge, ou roulée en boule. J’ai beau en avoir fait une habitude, ce rituel m’émeut toujours autant, ce moment où j’ai sous les yeux la culotte de maman, celle qu’elle vient tout juste d’enlever et qui toute la journée a contenu ses hanches et ...
    ... ses fesses généreuses, son pubis bien fourni et dont le fond en coton a été au contact de sa fente rose et humide, la fente de ce sexe, le sien, qui est au centre de mes fantasmes les plus suggestifs, ceux qui sans faillir font chaque soir se dresser ma queue, ceux que j’ai en tête quand je me branle et fais gicler mon sperme.
    
    Chaque soir c’est pareil, je sens mon cœur se mettre à battre plus fort, devant ce même cadeau dont il m’est impossible d’être blasé, tant c’est la source de plaisirs chaque jour renouvelés. Comme si elle me laissait quelque chose d’elle pour que son garçon devenu grand puisse mieux fantasmer, puisse vraiment bander bien dur et se masturber jusqu’à en jouir. C’est comme une forme de complicité bienveillante qu’elle lui témoignerait pour l’accompagner à bien vider ses couilles pleines, comme une espèce d’accord secret, honteux et tacite.
    
    Elle devait être pressée, car elle l’a laissée tout entortillée dans le collant. Elle s’est contentée d’enrouler son collant de la taille jusqu’aux pieds, laissant la culotte bien visible, mais comme emprisonnée au milieu. Je me saisis du paquet sans hésiter et, avant de commencer à extirper la culotte emprisonnée dans le nylon du collant, j’en porte à mon nez l’entrejambe de coton, juste pour vérifier que ce soir encore, il sent ce parfum miraculeux, cette odeur qui me rend fou. C’est encore tiède et tout humide - je l’ai pourtant clairement entendue s’essuyer après avoir fait pipi -, comme toujours. Je sens mon ...
«1234...»