1. Rituel (1)


    Datte: 03/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jamie64, Source: Xstory

    ... sûrement hautement déplacée (et comment en aurait-il pu être autrement ?), lui procurait malgré tout un petit frisson de satisfaction, tout au fond d’elle-même, à un endroit où elle ressentait comme une petite volupté lorsqu’elle se laissait aller à y penser, un sentiment insidieux et qui l’aurait troublée bien malgré elle.
    
    Je n’ai encore jamais eu le cran ou la simple présence d’esprit, lorsqu’elle m’en parle, de lui demander de me montrer comment ses culottes lui allaient. Je sais pourtant que j’adorerais la regarder vêtue de ses seuls sous-vêtements, sa généreuse poitrine dans le soutien-gorge de dentelle blanche et ses fesses rebondies enserrées dans la jolie culotte blanche, avec quelques poils noirs s’échappant sur les côtés en haut de ses cuisses. Peut-être aimerait-elle me demander ce que j’en pense, peut-être accepterait-elle, malgré l’obstacle de la pudeur, pas dans un premier temps, mais après y avoir un peu réfléchi, qui sait ? Peut-être attend-elle une occasion fortuite, un accident pour qu’un jour je réussisse à la voir toute nue que je puisse me rincer l’œil et profiter du spectacle de ses seins généreux, de ses fesses bien rebondies, du noir buisson qui recouvre le bas de son ventre.
    
    J’ai maintenant dix-huit ans, je suis en première année de fac, je vis ma vie d’étudiant en continuant à habiter chez mes parents. Je m’intéresse aux filles sans trop de succès, et j’ai une petite bande de potes avec qui on fait régulièrement la fête. Sauf qu’à la maison, ...
    ... ça continue un peu comme avant, j’ai gardé ma chambre et mes petites habitudes, dont celle de me masturber quotidiennement. Et chaque soir, au lieu de descendre ses affaires à la buanderie où se trouve le panier à linge sale, maman continue à laisser traîner ses vêtements et sa culotte, la culotte qu’elle a portée durant la journée, sur le tabouret ou sur le carrelage de la salle de bain. Comme si elle l’abandonnait à la convoitise de celui qui aura pour seule hâte, dès qu’elle aura tourné les talons et disparu en bas de l’escalier, de venir en apprécier toute la valeur, celui dont la seule envie est de venir l’honorer. Et ce soir, c’est encore ce qui en train de se passer.
    
    Je me suis déjà mis à bander à cette seule pensée, alors qu’elle est justement en train de se déshabiller, je sens ma verge frémir, toute raide et tendue à la pensée du parfum du sexe de ma mère.
    
    Il y a dix minutes qu’elle est venue me souhaiter la bonne nuit après avoir doucement frappé à la porte de ma chambre, comme tous les soirs. Elle m’a fait une bise avant que je lui en fasse une sur sa joue douce et rebondie, elle a trouvé que j’étais bien sage, déjà en pyjama, allongé sur mon lit en train de lire. Elle sortait juste des toilettes où je l’avais entendue faire pipi à travers la cloison, elle n’a jamais cherché à pisser discrètement et l’a toujours fait de façon plutôt désinhibée, sans pour autant verser dans l’exhibitionnisme forcené, juste de façon naturelle, en bonne fille de la campagne ...
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