1. Rituel (1)


    Datte: 03/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jamie64, Source: Xstory

    Ma mère a exactement trente ans de plus que moi, elle est plutôt petite et très coquette, très féminine, avec des formes vraiment généreuses question poitrine et postérieur, sans pour autant être grosse. Elle est ce qu’il est convenu de nommer une femme bien en chair, toute en rondeurs. Elle est d’un caractère facile, sait être très affectueuse avec ses enfants et se montre volontiers taquine avec eux à la moindre occasion. Elle est plutôt pudique et le sexe est un sujet assez tabou à la maison, lorsqu’il nous faut aborder certains sujets, il y a toujours comme une certaine gêne. Avec l’adolescence, maman a vite deviné que je m’étais mis à me masturber, elle avait bien remarqué les taches dans mon lit et avait trouvé à plusieurs reprises les mouchoirs dont je me servais pour essuyer mon sperme. A mon grand soulagement, jamais elle n’avait essayé de m’en parler ni même d’y faire la moindre allusion.
    
    Elle a aussi été très vite au courant de mon intérêt pour les dessous féminins, à cause de certaines pages manquantes dans ses catalogues de vente par correspondance, et plus particulièrement de mon intérêt pour ses dessous à elle, pour ses culottes, qui étaient les seules auxquelles je pouvais avoir accès. Elle ne manquait d’ailleurs jamais une occasion, comme pour bien me le faire savoir, de me dire lorsqu’elle devait aller en acheter de nouvelles, ou de commenter pour moi le prix prohibitif qu’elle avait dû payer pour pouvoir s’offrir des neuves et de bonne qualité ; ...
    ... lorsque je lui suggérais qu’elle pouvait sans doute en trouver du même style à des prix moins élevés, elle me répondait qu’il n’y avait que dans celles-ci qu’elle se sentait vraiment à l’aise et qu’elle préférait son confort avant tout.
    
    Comme s’il allait de soi que je sache exactement de quoi elle était en train de me parler, comme si c’était une évidence que je sois des plus renseignés, moi son fils, sur la composante la plus intime de toute sa garde-robe. Elle est même allée, un après-midi que nous faisions des courses ensemble en centre-ville, jusqu’à m’indiquer - je ne savais plus où me mettre - la boutique de lingerie où elle se les achetait et dont elle était la fidèle cliente.
    
    Et puis n’était-elle pas tombée, un matin où elle faisait mon lit, sur des dessins que j’avais bien involontairement laissés traîner et qui représentaient certains de ses dessous les plus affriolants, certaines de ses petites culottes bien coquines qui me provoquaient des érections rien qu’à les regarder et à les toucher ? Elle ne m’en a jamais parlé, se contentant de me faire trouver mes dessins posés sur mon lit, pas pour me faire honte, je ne crois pas, mais surtout pour me faire passer le message, comme pour me faire savoir qu’elle se doutait bien de la raison qui m’avait poussé à tenter de les dessiner, et qui était que tout bonnement elles m’excitaient. C’était comme une sorte de pacte secret entre nous.
    
    Peut-être aussi en concevait-elle une certaine fierté qui, bien qu’elle lui apparût ...
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