1. Rituel (1)


    Datte: 03/03/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: jamie64, Source: Xstory

    ... pénis se gonfler un peu plus, tout raidi et pointant hors de mon pantalon de pyjama. J’entreprends alors de dérouler le collant en faisant bien attention avec mes ongles pour ne pas le filer, de façon à pouvoir extirper la culotte de tout cet enchevêtrement.
    
    Je ne sais pas si elle se rendra compte de quelque chose demain matin après son bain, lorsqu’elle récupérera son linge pour le descendre à la buanderie, en attendant, je repose le collant en tas sous le chemisier et plaque le coton du gousset encore tiède et humide contre mon nez. J’ai décidé que ce soir, je le ferai là, debout dans la salle de bain au lieu d’aller dans ma chambre. C’est une de ses jolies culottes blanches, bien classiques, à l’étoffe légèrement satinée et un peu élastique, dont les bords sont ornés d’un fin liseré en dentelle.
    
    J’inspire à fond alors que je baisse mon pantalon, j’inspire à fond l’odeur de maman et commence à caresser mon sexe raidi devant le lavabo. Je peux voir mon reflet dans la glace devant moi, le visage à demi caché par la culotte de ma mère, la culotte qui était contre son sexe quelques instants auparavant, en train de respirer les odeurs qu’y a laissées sa chatte, en train de me remplir des chauds effluves de sa vulve, des doux parfums de son vagin, l’entrejambe moite plaqué sur mes narines.
    
    Je me branle en me laissant dériver dans cette moiteur saturée des relents du pipi de maman, des chaudes exhalaisons de son vagin, peut-être même d’un je-ne-sais-quoi d’excitation ...
    ... sexuelle. Je m’abandonne aux capiteuses odeurs qui me pénètrent, m’envahissent, je me laisse transporter par ses parfums les plus intimes et qui m’emplissent les narines d’un bonheur surnaturel. Je suis comme noyé dans le chaud et doux parfum du sexe maternel, je suis saisi de plaisir et d’extase tellement c’est tout simplement divin, comme si j’avais le nez entre ses cuisses et qu’elle me laissait la respirer, me laissait la sentir pour enfin me faire entrer en elle. Je voudrais tellement pouvoir lui montrer fièrement ma verge tendue, dressée comme un trophée, comme pour lui dire :
    
    — Regarde maman, l’effet que tu me fais, c’est toi et seulement toi qui réussis à me faire ça, à moi, ton grand garçon, regarde comme tu sais si bien me faire bander !
    
    Juste pouvoir lui dire : Maman, comme tu sens bon !
    
    Et faute de pouvoir lui parler, faute de pouvoir jamais un jour le lui dire, de la complimenter tout en m’émerveillant, excité comme jamais, la verge bandée à en exploser au creux de la main, alors que je me branle, je cherche juste à me l’imaginer toute nue une fois déshabillée, avec encore les marques du soutien-gorge, du collant et de la culotte qu’elle vient de retirer, sur sa peau si douce, sur son corps aux formes un peu alourdies, mais encore tellement tentantes et généreuses. Je cherche à me représenter son sexe sous mes yeux, sombre triangle de poils noirs, mont de Vénus adorablement potelé sous la toison déjà odorante, lèvres fermées à la jointure de ses jambes, et ...
«1...3456»