Anne au Congo
Datte: 03/02/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byJipai, Source: Literotica
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Il partit d'un grand rire proche de l'hystérie et repris ses pilonnements avec une frénésie que la haine décuplait. Anne sentit des brûlures dans tout le bas ventre et se mit à gémir et à se tordre sous le poids qui la maintenait fixée au sommier.
Dans un paroxysme de frénésie sexuelle encouragé par ses compagnons, l'homme se crispa soudain et vida par saccades vigoureuses son sperme dans le vagin torturé par un membre dont les spasmes n'en finissaient plus.
Tout le corps d'Anne tressaillit sentant les jets brûlants envahir son ventre. Elle ressentit sur l'instant une nausée de dégoût profond qui l'entraîna au plus sombre désespoir. Des larmes jaillirent de ses yeux et coulèrent à gros bouillons nerveux sans sembler jamais pouvoir s'arrêter.
Sans se départir de son regard ironique et méprisant, l'homme se releva et livra sa prisonnière à ses hommes. Il y eut de grands cris, des bousculades des confusions, car tous voulaient être le suivant immédiat du chef. Par quelques paroles autoritaires, il remit un semblant d'ordre dans sa bande et désigna son successeur. Avec jubilation, le garçon à grands cris confia ses armes à son tour à ses camarades et s'étendit sur Anne.
Il fut en elle rapidement et besogna rapidement son corps meurtri libérant rapidement un flot de sperme dans le vagin déjà trempé du précèdent. Des cris et des encouragements accompagnaient le viol. Il se retira et offrit sa place au suivant qui vint à son tour couvrir le corps torturé de la ...
... jeune femme. Rapidement le suivant jouit en elle, ahanant et grognant, livrant à son tour sa place à un gamin si excité qu'il jouit avant même d'avoir pénétré le sexe de la femme.
Et ainsi de suite toute la bande se soulagea sur Anne, elle ne sut pas combien ils étaient ni le temps que cela dura. Quand ils la laissèrent enfin, le petit jour pointait à travers la fenêtre ouverte.
*
Anne tourna la tête vers la lumière et resta immobile sur le sommier. Son bas ventre lui faisait mal, la douleur était lancinante et des pointes aigues lui tiraillaient les chairs par moments. Elle se recroquevilla sur elle-même essayant d'échapper à sa douleur et ferma les yeux.
Pourtant autour d'elle, les cris, les rires continuaient. Les hommes allaient et venaient, fouillaient tout, débarrassaient la maison de tout ce qui était monnayable, emportant jusqu'aux fenêtres et portes, la plomberie, laissant l'eau couler et inonder petit à petit la villa.
Vers midi il n'y eut plus rien à prendre et ils s'égaillèrent dans le jardin pour tenir palabre sous les arbres.
De sa couche, Anne les entendait distinctement. La conversation était animée voir même violente, ils en vinrent aux mains et se battirent. Plus tard encore des coups de feu furent tirés, encore des cris et enfin la voix du chef ramena un semblant de calme.
Elle resta enfermée toute l'après midi, après le sieste, deux hommes étaient montés la rejoindre et l'avaient violé chacun leur tour, s'appliquant à la pénétrer au plus ...