1. Anne au Congo


    Datte: 03/02/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byJipai, Source: Literotica

    ... considérant nue devant eux. Le chef faisait des commentaires toujours aussi incompréhensibles mais dont on devinait le sens.
    
    Il s'approcha d'elle et lui palpa le sein sans ménagement. Anne frissonna sans oser s'esquiver, elle baissa la tête. Les commentaires affluèrent encore, ponctués de rires gras. L'homme continuait à explorer son corps insinuant sa main entre ses cuisses, entrant un doigt dans son sexe. Anne gémit de peur sous le viol qu'elle subissait.
    
    Elle fut poussée sur le sommier qui était toujours là et se retrouva allongée nue sous le regard d'une dizaine de paires d'yeux gourmands. Elle vit en face d'elle celui qui était le chef et qui confiait ses cartouchières à un de ses hommes, il lui donna aussi son pistolet dans son étui, défaisait son ceinturon et déboutonnait son pantalon qu'il fit glisser le long de ses jambes musclées.
    
    Anne eut le temps de voir son membre dressé devant lui pendant qu'il la regardait sans aménité. Paralysée par la peur elle eut juste le temps de d'imaginer ce gros sexe noir entrant en elle.
    
    Il s'abattit sur elle de tout son long et de tout son poids il écrasa son corps frêle. De ses genoux nerveux il écarta ses cuisses sans qu'elle ne résiste et elle sentit la chaleur de son sexe contre son bas ventre. Quelques mouvements de ses reins et il trouva l'ouverture de sa fente, ses doigts ouvrirent brutalement le passage et il engagera son gland entre les lèvres chaudes. Anne claquait des dents en continu sans pouvoir maîtriser sa ...
    ... nervosité, son corps ne lui appartenait plus et vivait indépendamment de son cerveau qui lui était conscient de la situation.
    
    Le noir poussa fort de ses reins puissants et son membre pénétra le vagin d'Anne. Elle se cambra, poussa un cri aigu, sentant ses chairs distendues au passage du gland qui l'ouvrait sans ménagement. Le noir la fixait toujours, son sourire méprisant aux lèvres il la dominait et l'écrasait de tout son poids. Il resta en elle sans bouger tandis que son corps vibrait en continu.
    
    Et puis se reins se mirent en marche, d'abord lentement, elle sentit un repli du sexe avant un retour brutal au fond de son ventre, un nouveau repli, un nouveau retour et le mouvement s'amplifia. Le bouche ouverte, hébétée, incapable d'une quelconque défense, les yeux écarquillés vers ce visage impassible au dessus d'elle, Anne subissait les coups de boutoir qui éveillait en elle un mal de ventre tant le gland du noir lui pilonnait l'utérus.
    
    Il besogna sa proie pendant encore un long moment, alternant les périodes lentes et rapides, indifférent à ses cris de douleur quand le gland buttait violemment au fond de son ventre, quand les chairs tendres du vagin se trouvaient distendues par un engin dont la dimension était supérieure à la capacité d'accueil de la frêle jeune femme.
    
    A un moment il arrêta ses mouvements et se pencha à l'oreille de sa prisonnière. " Je vais tout te mettre dans ta sale chatte de blanche! Je vais te faire un bébé tout noir, un souvenir de l'Afrique! ...
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