1. Arlette


    Datte: 25/02/2023, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, intermast, Oral pénétratio, portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... tandis que je suce, que j’aspire le petit bâton. Du bout de la langue, je remonte la micro-hampe jusqu’à la base du chapiteau et c’est avec le dessous moelleux de ma langue que je caresse enfin le gland, tout cela en lutinant du doigt la chaude et douce muqueuse dans son ventre.
    
    Toujours tendue en arc, Arlette râle. Ses yeux sont fixés sur moi, mais son regard est ailleurs, très loin, sans doute à la recherche du septième ciel.
    
    Je poursuis mes caresses, mais cette fois avec le dessus râpeux de ma langue, c’est alors un rugissement qui s’échappe de sa bouche. À deux mains, elle m’agrippe les cheveux et presse convulsivement ma bouche sur son sexe, en resserrant les jambes. Totalement coincé entre ses cuisses, je subis ses soubresauts violents, accompagnés d’un liquide odorant qui me coule sur le menton.
    
    L’orgasme s’achève en spasmes légers qui font onduler tout son corps, jusqu’à ce qu’Arlette s’écroule sur le lit, mi-riant, mi-pleurant. Je la prends dans mes bras et la serre en la berçant.
    
    Un long moment de détente est nécessaire, nous ne sommes plus tout jeunes !
    
    Quand Arlette récupère son énergie, elle me regarde :
    
    — Mais, t’as encore ton caleçon… et moi j’suis à poil ! Veux-tu m’retirer ça !
    
    Dont acte. Elle revient se coucher contre moi, la tête sur mon épaule, et serre ma cuisse entre les siennes. Elle se frotte doucement, continuant ainsi une douce masturbation. En même temps, sa main libre joue avec Popaul qui prend tout son temps pour se ...
    ... redresser.
    
    On est bien, en pleine volupté et cependant détendus. Arlette ronronne :
    
    — Comme je suis heureuse ! Tu sais, c’est mon premier orgasme depuis mon Jacques…
    
    Après un long silence, elle reprend :
    
    — Après sa mort, j’ai pas pu rester en ville. L’bureau de poste où j’travaillais me foutait l’bourdon. J’ai demandé à devenir factrice, à la campagne. Comme y’a pas beaucoup de d’mandes comme ça, on m’a vite refilé une tournée, ici, et toutes les communes alentour.
    
    Très vite, j’ai plus été seulement factrice : y avait beaucoup de personnes âgées, alors j’m’arrêtais pour papoter, j’faisais souvent leurs courses. Tu sais, c’est pas facile pour les p’tits vieux, à la campagne, l’isolement, c’est terrible. Même si y’a un petit bout de potager à travailler, l’ennui est là et ça vous bouffe.
    
    J’ai fini par les connaître tous, leur famille, leurs amis, parfois leur solitude totale, alors j’prenais mon temps pour qu’mon passage les fasse sortir d’leur train-train. Comme une maman, j’ai consolé des grands-mères ; comme une pute, j’ai sucé des grands-pères. Y en a même un où j’suis arrivé juste quand il venait de s’pendre, je l’ai sauvé. Il est toujours vivant, il a presque cent ans, j’vais l’voir souvent. Et puis, j’ai pris ma retraite, et m’voilà…
    
    Impressionné et remué, je la serre contre moi, elle presse toujours son sexe contre ma cuisse et me susurre :
    
    — Fais-moi l’amour… Maint’nant !
    
    À suivre
    
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    * Pour ceux qui ne ...
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