1. Arlette


    Datte: 25/02/2023, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, intermast, Oral pénétratio, portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... conversation tourne sur la vie de la résidence. J’apprends ainsi quelques points du règlement et surtout une foule de petits potins sur les habitants du lieu. Sous l’humour des remarques, je découvre beaucoup de gentillesse et de compréhension. Personne n’évoque l’ivresse d’Anne-Marie qui semble totalement remise de l’incident.
    
    Le repas terminé, nous regagnons nos logements pour une sieste. Il faut dire qu’en cette fin de mois de mai, il fait très chaud, ce qui n’incite pas trop aux exercices physiques. J’arrive à isoler Arlette pour lui glisser à l’oreille :
    
    — Après ton cadeau d’hier, je te dois une minette. On peut profiter d’une sieste crapuleuse chez moi, si tu veux.
    — Tu me dois rien du tout, mais ça m’tente bien. OK, à tout de suite, dit-elle en rejoignant les autres.
    
    — oooOooo —
    
    J’ai fermé les persiennes, il règne une douce fraîcheur dans mon studio. Dans la pénombre, je me déshabille, ne gardant que mon caleçon. Discrètement, Arlette entre et ferme la porte.
    
    — Hum, fait bon chez toi. Ah ! t’es déjà en tenue… (elle rit)
    — Et toi ! tu comptes faire la sieste en jean ?
    — J’allais pas me balader à poil dans l’couloir ! Et puis, ça m’plaît de m’faire déshabiller, me répond-elle en venant se coller à moi.
    
    Je la prends dans mes bras et l’embrasse dans le cou. J’aime son odeur, un peu poivrée, avec un souvenir de savon de Marseille, très naturelle. Elle frissonne.
    
    — Ta moustache me chatouille. Ça commence bien !
    — Pourquoi ? T’aimes pas ?
    — Mais ...
    ... si, au contraire… ça m’fait fondre… c’est pas juste !
    
    Elle remonte ses bras sur mes épaules et place sa bouche sur la mienne. Tout en douceur, sensuellement, sa langue vient caresser puis écarter mes lèvres. Tranquillement, elle force le passage, roule autour de ma langue, la provoque, la bouscule. Bien entendu, j’accepte le duel. Nous croisons le fer, j’attaque, elle plonge en contre-attaque, mais bien vite, nous cédons au plaisir de la caresse.
    
    Mes mains qui serraient ses hanches contre moi remontent sous son débardeur, effleurant la peau de son dos, ce qui la fait frémir. Mon ascension est arrêtée par le soutien-gorge que je dégrafe habilement. Glissant par-dessous, j’écarte les bonnets pour empaumer les seins. Arlette écarte sa bouche un instant pour murmurer :
    
    — Ben, mon cochon, tu perds pas d’temps ! Continue, j’adore…
    
    Je continue donc. La poitrine n’a plus la fermeté élastique de la jeunesse, mais elle est encore de belle tenue. Généreuse et ardente, je sens les mamelons dressés provoquer le creux de mes paumes. Je ne cède pas immédiatement à la provocation, je presse, je caresse, je tourne en frôlant, j’entoure en comprimant, je malaxe cette chair qui tient bon et résiste. D’un mouvement souple des deux bras, Arlette fait passer son débardeur par-dessus sa tête, enlevant le soutif du même coup, elle repousse mes mains, attrape ses seins et me les présente.
    
    — J’t’en prie, Lou, j’en peux plus… Tète-moi !
    
    Comment résister à une telle prière ? J’allonge ...
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