1. Arlette


    Datte: 25/02/2023, Catégories: fh, hagé, fagée, voisins, intermast, Oral pénétratio, portrait, Auteur: LouVilneau, Source: Revebebe

    ... Arlette sur mon lit et je plonge. Je suce, je mordille, je lèche. C’est merveilleux, Arlette réagit, on dirait qu’elle est synchronisée, gémissant, sursautant en rythme avec moi.
    
    Mes mains, libérées, caressent ses côtes, chatouillent son nombril, atteignent la ceinture rêche du jean. L’ouverture du bouton, difficile, manque d’élégance, mais j’y arrive. Le reste est aisé et ma main droite peut se glisser sous l’élastique de la culotte et progresser doucement vers l’objectif de notre rencontre. Soulevant les fesses, Arlette fait descendre jean et culotte sur ses cuisses. Je prends le relais pour retirer le tout.
    
    Nue devant moi, je prends conscience qu’Arlette, à soixante-neuf ans, est encore une belle femme. Des jambes longues et musclées par la pratique de la marche et du vélo, des hanches larges, un petit ventre rond, mais ferme, une poitrine rebondie et une peau encore bien souple. Contrairement à ma première impression, Arlette est une fausse maigre. Elle a légèrement entrouvert les jambes, mais je ne tombe pas dans le piège qu’elle me tend. Je tiens à la faire languir, je veux attendre qu’elle demande, qu’elle réclame.
    
    Je me lance dans une série de petits bisous et de coups de langue à partir du pied, en remontant à l’intérieur de sa jambe gauche, bien entendu, je contourne la vulve pour finir à la limite du mont de Vénus. Après l’opération symétrique sur la jambe droite, j’arrive sur le pubis garni de poils épars. Elle intervient d’une voix gênée :
    
    — Y a ...
    ... encore pas si longtemps, j’avais un vrai tapis de haute laine, mais tous mes poils sont tombés. R’garde, j’ai plus qu’ça…
    
    Dans un flash, il me revient ce couplet d’une chanson paillarde. Je me mets à chanter :
    
    On part tous les deux d’un énorme éclat de rire. Juste ce qu’il faut pour détendre une tension sexuelle devenue trop intense pour goûter sereinement le plaisir.
    
    La tension est peut-être tombée, mais pas l’excitation. Quand je m’en approche, je vois les grandes lèvres du sexe d’Arlette écartelées par une chiffonnade humide de nymphes gorgées de sang. Une odeur suave de femme excitée s’en échappe. C’est impressionnant ! Je veux la faire jouir longuement. Du plat de la langue, je couvre toute la largeur de la vulve offerte que j’effleure délicatement de bas en haut.
    
    — Oh oui… encore, gémit-elle.
    
    Donc re, encore et encore. À la longue, je durcis progressivement la langue en l’enfonçant peu à peu au milieu des nymphes turgescentes. Je me régale du goût poivré du liquide qui sourd des muqueuses enflammées. J’évite la confrontation directe avec le petit bouton qui fait tant de bien aux dames, en le contournant. Il m’apparaît alors qu’en guise de clitoris, Arlette est dotée d’un mini pénis bien cabré que je prends à la base entre mes lèvres tout en évitant le sommet très sensible.
    
    Arlette tressaille et soulève son bassin, à la recherche d’un contact plus étroit. La position est un véritable appel, j’introduis lentement le majeur dans le doux tunnel qui s’entrouvre ...
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