Pucelle libertine - Histoires de Sexe

Pucelle libertine

... copain pour un soir ?

Le top atterrit sur les genoux du garçon. Elle joue le jeu en faisant l’outrée se cachant les seins tout en me répondant :

— Tu peux le garder pour la vie.
— J’en demande pas tant, lui dégrafé-je la minijupe que je jette sur les genoux du garçon.

La voilà à poil, à l’aise ! Elle s’adresse à la salle :

— J’la mets à poil la grande ?
— À poil ! À poil ! répond l’assistance.

Elle me fait tomber le string… Je l’enlace comme pour un slow, cuisse contre pubis, nous nous galochons…

— Faut saluer, maintenant, lui soufflé-je.

Côte à côte, elle avec son joli triangle brun, moi avec mon abricot lisse, je l’applaudis pour encourager la salle à le faire, et elle le fait. Je vais chercher sa jupe que tient son copain auquel je ne jette qu’un regard rapide neutre.

Quand je lui tends la mini, elle me dit :

— Tu veux vraiment monsex-friend ?
— Oui.
— Je te l’amène samedi prochain.

Trop contente, je la galoche avec cœur. Là-bas à la table, le garçon n’en perd pas une miette.

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Le lundi, je lis le contrat de travail sans rien retenir d’autre que la paie. Cette fois, je tiens un vrai job, même s’il n’est qu’éphémère.

Puis je m’ennuie dans les révisions de l’examen prévu pour mercredi et jeudi. Mon esprit vagabonde sur le garçon et sa copine. Dessex-friends ! Je fais pareil, mais entre filles. Pourquoi cette étincelle entre nous ?

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Le garçon

Du club, je passe à l’école, semaine importante de fin de cycle. ...

... Passer un examen est toujours stressant. On arrive avec l’impression de la tête vide de tout savoir puis quand les sujets tombent, on s’y lance grave.

Mon pire ennemi sont les mathématiques, les équations, les +a qui se contrarient avec les -b, etc. Mercredi, jeudi, le temps s’arrête dans les salles silencieuses. Ouf, c’est fait. Bref, de mon point de vue, cela s’est bien passé. Le jeudi soir je peux dire : fini l’école, je suis en vacances. Le vendredi matin, un appel de Jessica qui me demande si je peux venir l’après-midi pour une générale du spectacle d’été. Bien sûr que oui. J’ai besoin de décompresser. Tout le personnel est là. Le patron s’adresse à moi :

— Caro, nous ne t’avons pas prévenue avant, sachant que tu passais tes examens. Ça a marché ?
— Oui, ça va le faire. Merci, Monsieur.

Il s’adresse à tous :

— Les enfants, ce soir, répétition de ce que nous allons faire cet été. Il y aura un magicien avec ses tours coquins. Moi qui donnerai une fessée à une inconnue du public. Il y a toujours une fille qui fantasme cela. Jessica avec Caro, Sakia et Fifka qui feront ce qu’elles font merveilleusement. En juillet, j’aurais des contorsionnistes aux positions érotiques surprenantes. Nous nous devons de garder l’ambiance bon enfant, j’allais dire familiale afin de fidéliser les curieux qui ne manquent pas en période estivale et de conserver nos habitués.

Je vous fais grâce de la suite. La soirée se déroule comme sur des roulettes. Le magicien fait disparaître, ...