1. Pucelle libertine


    Datte: 23/02/2023, Catégories: fh, ff, jeunes, vacances, boitenuit, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral 69, nopéné, jeu, init, initiatiq, lesbos, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe

    ... C’est idiot.
    — Ben non, c’est normal pour un garçon.
    — Une amie de ma mère, se rappelle-t-il par tendresse.
    — Raconte, s’te plaît…
    — Elle avait remarqué que je zieutais ses jambes croisées et m’en offrait plus à chaque visite. Elle portait des bas. Un jour, elle n’avait plus de culotte, t’imagines mon état.
    — Tu t’es masturbé !
    — En cachette. Ce qui est bizarre, c’est que ma mère m’envoie chez elle pour un pull oublié et sa copine m’accueille dans une robe que j’ai bandé illico. Elle m’a défait la braguette, j’ai eu droit à une masturbation ultra rapide. Imagine, à seize ans le stress.
    
    Puis elle m’a dit de revenir le lendemain qu’elle me donnerait le pull. Je ne t’ennuie pas avec mes souvenirs ?
    
    — Que non. Continue.
    — Elle m’a fait une fellation, m’a dit de revenir le lendemain pour le pull. Là, nous avons fait cela en missionnaire. Le surlendemain, en levrette. J’y prenais goût. Tous les jours, du nouveau et toujours le pull à revenir chercher. Elle m’a montré la sensibilité du clitoris, des seins. L’andromaque, le 69, j’étais bon élève à ses dires. Elle m’a appris à aimer mon sperme, mais n’a jamais voulu par-derrière. Tant pis, j’en savais beaucoup. Je pavanais au lycée, j’étais Casanova avec mon petit secret.
    — Je comprends pourquoi Edwige t’apprécie.
    — Caro, ma mère n’a jamais réclamé son pull, c’est étrange hein !
    — Tu crois que ta mère a comploté avec sa copine ? Cela a été bénéfique pour toi, la connivence. Tu la revois l’amie de ta mère ?
    — Oui, ...
    ... mais je ne vais plus chercher le pull. Elle-même a mis les distances comme une prof.
    — La classe, quoi.
    — Caroline.
    — Oui ?
    — Non, rien, rien de bien grave.
    
    Si, l’instant est grave, il était à deux doigts de me dire des trucs. Il faut que je lui apaise les tensions. Ma main se pose sur sa cuisse, remonte à la braguette :
    
    — Allonge-toi sur le muret, s’il te plaît.
    — Euh…
    
    Effectivement, il n’a pas de slip. Faut pas coincer le pieu dans le zip. C’est pour ça qu’il se rase le pubis. Sa queue mince est agréable à sucer, les manières du propriétaire sont agréables, il faut que je garde le tout. Ses mains m’enserrent la tête pour me forcer à venir le galocher. Maintenant c’est lui qui me couche sur le mur.
    
    Sa langue, du clito au vagin, m’en fait voir trente-six chandelles. Nez pincé, je jouis en me cramponnant au muret. Il me galoche, mais, vite, je saute sur sa queue, le suce de folie, n’importe comment, il ne résiste pas. Je le galoche, nous collons des lèvres.
    
    Apaisés, nous prenons le temps de récupérer de l’intensité. À nos pieds, les lumières de la ville scintillent toujours.
    
    N’aimant pas tourner autour du pot :
    
    — Alban, je vais prendre la pilule et tu me défloreras romantique au clair de lune.
    — Si j’ai une panne ce jour-là, ça arrive, le stress.
    — C’est pas compliqué, je resterai pucelle un peu plus longtemps !
    — J’aime ton optimisme.
    — Alban, tu me promets de ne pas négliger Edwige, de la déstresser, de lui faire l’amour quand ça vous chante, tu ...