1. Les Gibets de Savannah


    Datte: 17/02/2023, Catégories: h, fh, fbi, rousseurs, BDSM / Fétichisme historique, délire, Humour aventure, historiqu, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... sévèrement déconné et qu’il goûte actuellement au confort des tours de La Rochelle.
    — Charmant !
    — Je ne te le fais pas dire… Et le nouveau proprio est en train de transformer leur boutique en maison d’abattage.
    
    Comprendre un bordel où les pensionnaires, selon l’expression consacrée, se font du cinq ou six nœuds à l’heure avec toutes les conséquences que l’on imagine.
    
    — Ce sont des clients qui t’ont dit ça ?
    — Oui, mais pas que. Samantha est une copine et elle me l’a dit.
    — Ah bon ? Ils l’ont laissée sortir ?
    — Ça m’étonnerait que tu ne le saches pas, mais elle est sans doute la meilleure pipeuse de France et de Navarre…
    — Meilleure que toi ?
    — Oh que oui, et de loin…
    
    Intérieurement, je me dis que vais y aller faire un tour, à la Pomme d’Or… quoique la perspective de me récupérer une chtouille maison agrémentée de quelques morpions ne m’enchante pas plus que ça.
    
    Une dernière gorgée de pif plus tard, Adélaïde semble s’intéresser de nouveau à ma queue. Il n’y a pas à tortiller, il y a des filles qui font le tapin parce qu’elles n’en ont pas le choix, et il y en a qui doivent aussi le faire pour le panard… Et je crois bien que ma blonde fait partie de la deuxième catégorie.
    
    Trois coups de langue plus tard, me voilà quelque peu plus présentable… Sauf que cette fois, elle va pas s’en tirer comme ça ! Je l’attrape par le bras, histoire de l’expédier directement sur le paddock, profitant accessoirement qu’à l’Espadon Moucheté, les draps sont changés tous les ...
    ... jours et que, même si précédemment il y a eu un malencontreux accident, tu peux t’allonger sur le pieu sans arrière-pensée ! Adélaïde connaît bien son métier et se laisse faire docilement, se contentant de poser sa tête sur l’oreiller, les pinceaux à l’équerre pour une vue imprenable sur sa chatte.
    
    Et quelle chatte, mes aïeux ! Tout aussi blonde que ses cheveux, elle baye déjà aux corneilles, aussi trempée que les fringues d’un marin qui vient d’essuyer un grain. Mon sang ne fait qu’un tour… Je vais t’en foutre, moi, au sens propre comme au figuré ! Je dirais bien alors que je dégaine l’arbalète, mais il se trouve qu’étant à oilpé sous ce drap, ce n’est pas vraiment le cas.
    
    Pas le temps de tergir ni de verser, je suis déjà enfoncé en elle jusqu’à la garde… Et là encore, quel délice ! J’ignore depuis combien de temps elle officie dans le putanat, mais quelque chose me dit qu’elle a doit s’enfiler davantage de bites en une heure que n’importe quelle bourgeoise en toute une vie, mais cela ne l’empêche pas d’être incroyablement étroite… Un véritable pot de miel !
    
    Tellement serrée d’ailleurs que, bien que je sois en train de la baratter comme un furieux, c’est elle et elle seule qui m’empêche de lui crémer le dindon ! Faut dire que malgré sa monstrueuse turlutte de tout à l’heure, rien n’a rien changé et j’ai toujours les couilles prêtes à exploser !
    
    Elle s’en amuse, d’ailleurs, comme en témoigne ce petit sourire qui ne quitte pas ses lèvres. Bon, eh bien, puisque la ...
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