1. Les Gibets de Savannah


    Datte: 17/02/2023, Catégories: h, fh, fbi, rousseurs, BDSM / Fétichisme historique, délire, Humour aventure, historiqu, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... douille un peu, mais t’en as pour ton fric.
    
    Par contre, ces gonzesses-là et même si elles te regardent l’entrejambe avec attention, essentiellement histoire de vérifier que t’as pas une chaude-pisse ou autre saloperie, t’as pas intérêt à les toucher ! Si tu veux pas te retrouver à oilpé et la tête au carré au beau milieu de la rue, t’as intérêt à garder tes mains dans tes fouilles ! Comment ça, t’as pas de poches quand t’es à poil ? Rien à foutre ! Et je ne connais personne qui ait envie de se confronter l’immense black qui, bien que sagement planqué dans un coin, n’en veille pas moins au grain et qui serait capable de lourder n’importe qui si cela s’impose… Faut dire aussi que les filles qui travaillent ici « sous l’homme » ne sont pas des gamines comme l’on en rencontre trop souvent ailleurs, mais ont toutes la vingtaine ou pas loin, ce qui en fait accessoirement des expertes du turbin. Par contre, je suis pas certain que ce soit le cas des lavandières, ce qui explique sans doute pourquoi la maquerelle est à ce point chatouilleuse sur le sujet.
    
    Je ne sais pas combien de temps durent mes ablutions – eh ouais, mon père, j’ai aussi du vocabulaire, faut pas croire –, mais, lorsque je me relève, deux filles se précipitent pour me tendre une toile de lin qui servira à la fois à me sécher et à éviter d’exposer ma pas vraiment glorieuse anatomie dans les couloirs du boxon. Un dernier coup d’œil sur ma teub, et en avant la musique !
    
    Inutile de déranger les autres nénettes, ...
    ... je sais exactement où je vais… Porte numéro 13, Adélaïde m’attend, et là, une fois de plus, c’est le coup de foudre. Mais comment fait-elle pour entretenir une telle crinière ? Ses cheveux, qui ont encore poussé depuis la dernière fois que je l’ai vue – mais c’était il y a huit mois, il est vrai – lui arrivent désormais quasiment aux genoux. Simplement vêtue d’un minuscule corset de velours rouge qui ne cache pas davantage ses ravissants petits nibards que sa case trésor, elle se place face à moi, les mains sur les hanches.
    
    — Enfin revenu, capt’ain ? Tu m’as manqué, mon joli cœur…
    
    J’ai beau savoir que, comme toute pute qui se respecte, elle sort sans doute la même salade à chacun de ses pigeons, cela fait son petit effet.
    
    — Tu m’as prise pour combien de temps, mon beau marin ?
    — En attendant de te casser la tienne, j’ai cassé ma tirelire, réponds-je avec malice. Je t’ai réservée pour la nuit.
    — Ah oui ? me répond-elle avec un sourire. Alors, autant commencer tout de suite, alors !
    
    Là, sans me laisser le temps de réfléchir – et surtout sans avoir pris la peine de me faire entrer dans sa piaule – elle est déjà à mes genoux et a déjà pris sérieusement l’affaire en main, ou plutôt en bouche, d’ailleurs. Elle te choppe les burnes à pleine main et à partir de cet instant, tu sais que tu ne pourras plus rien faire : t’es son jouet, point. Elle suce, pompe, te lèche le gland, te branle comme une forcenée et toi, tu ne peux que subir. Certes, c’est délicieux, mais t’es ...
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