1. Les Gibets de Savannah


    Datte: 17/02/2023, Catégories: h, fh, fbi, rousseurs, BDSM / Fétichisme historique, délire, Humour aventure, historiqu, Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... travers de la lourde…
    
    Je crois qu’elle est tellement furax qu’elle en serait bien capable !
    
    — Tiens, regarde plutôt ton capitaine… Lui, il sait s’y prendre avec les femmes !
    
    Joignant le geste à la parole, la voilà qui se met à quatre pattes sur le paddock, les miches posées sur le drap et le fion vers les étoiles. Message reçu cinq sur cinq, comme ne disent pas encore les ouvriers des sémaphores…
    
    Naturellement, je me présente aussitôt devant sa chatte dégoulinante, mais, à ma grande surprise, elle m’attrape le zgeg pour le présenter devant sa petite porte.
    
    — Vas-y, et vas-y franchement ! C’est qu’il m’a énervée, ton pote !
    
    Le pote en question, inutile de dire qu’il ne sait plus où se mettre… Mais moi, par contre, je sais exactement où je vais la lui mettre ! L’instant d’après, je me retrouve fiché tout au fond de ses reins et Adélaïde ponctue chacun de mes assauts d’une foule de petits cris délicieux. Délicieux sans doute, mais sans doute aussi un peu forcés : à mon avis, il est aussi question de foutre la rage à notre ami qui tire plus vite que son ombre.
    
    Elle tourne alors la tête vers moi, s’aperçoit qu’il y a un os dans le pâté… Et décide aussitôt de prendre le taureau par les cornes en s’astiquant derechef le bouton magique. Là, le résultat ne se fait pas attendre, je reprends mon pistonnage là où je l’avais laissé et, deux minutes plus tard, elle nous gratifie d’un superbe orgasme qui cette fois n’a visiblement rien de simulé et qui déclenche en ...
    ... moi une irrésistible envie d’arroser son divin fessier… Tandis que les giclées se succèdent, je tourne la tête, mais ce n’est que pour voir la porte se refermer. Lepainsec, vexé, vient de se barrer la queue entre les jambes.
    
    — C’est moi, ou ton second tire une gueule de six pieds de long ?
    — C’est bien possible, tu sais… Mais ça lui passera.
    — Bon, et alors tu fais quoi ? Tu vas le rejoindre ?
    
    Je jette un œil sur l’horloge fixée au mur… Tout comme le miroir, je me sais pas comment cela a pu arriver là vu que tout le monde sait que les deux coûtent joyeusement la peau des burnes, mais cela me permet de répondre.
    
    Avant toute chose, il faut que je passe à la capitainerie, tout cela sent l’arnaque à plein blaze. Mais à cette heure-ci, le type qui s’occupe de ça est sans doute encore en train de bourrer sa rombière ! Rien ne presse.
    
    Je n’ai pas fini ma phrase qu’Adélaïde, penchée sur mon bas-ventre, a repris son ouvrage. Oui, ben ma cocote, cette fois il te faudra attendre un peu, le matos risque d’être mou du genou pour une plombe ou deux.
    
    — --ooo0ooo---
    
    Lorsque je me pointe sur le quai, le petit havre est endormi. Quelques navires y sont mouillés, cargues sur vergues, hunes capelées, et sans fanaux. Et merde, est-ce le parfum capiteux d’Adélaïde qui m’embaume encore les naseaux ? Voilà que je me prends à copier la vraie littérature.
    
    — Et donc, vous pouvez m’en dire plus sur cette barcasse ?
    — Simple : c’est le rafiot de L’Araignée… Je pense que vous le ...
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